Bonjour tout le monde !
Tout d'abord, excusez-moi pour ce temps, la communication entre les mondes magiques et votre classe n’est pas toujours fluide…
mais ma chouette messagère a fini par vous retrouver !
Avant toute chose, je voulais vous remercier pour tous ces superbes textes, ils sont tous différents et inspirants, chacun dans leur genre. Ça a été très difficile pour moi de choisir mes préférés, j'aurais voulu vous faire tous gagner.
Puisque M. Dyrek m’a demandé de choisir trois gagnants, sachez que je ne peux pas choisir qui sont les meilleurs, seulement ceux d’entre vos textes qui m’ont le plus parlé, personnellement.
L'écriture est un art, et comme tous les arts, elle est subjective !
Mon podium est le suivant :
1 : Z = Héloïse de M. 6e1
2 : S = Célestine J. 6e1
3 : O = Shady E. 6e1.
Merci pour tous vos textes (communiqués anonymement à l'autrice...) ! et continuez de créer !
Dame Zina
- autrice, illustratrice qui a remporté au Salon du Livre de Toulouse en septembre 2023 le prix du meilleur album pour la jeunesse.
Héloïse va donc enfin recevoir l'album dédicacé dès septembre 2023 par Dame Zina pour son "texte coup de coeur".
L'album s'intitule L'équinoxe des dragons.
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UNE AVENTURE DANS LA FORÊT !
2 aventures dans la forêt,
3 aventures dans des forêts,
4 aventures dans les forêts…
EXPRESSION ÉCRITE AU DÉBUT DE L’AUTOMNE
1er Devoir Sur Table au Collège 6e, classes de M.L. Dyrek, septembre 2023.
Rédaction d'aventure dans une forêt, un récit en plusieurs paragraphes (prose) et une strophe (poésie) : les personnages doivent découvrir l’endroit de la parole qui fait du bien.
Cette rédaction comportera à l’intérieur du récit un poème court à inventer prononcé par un personnage, commençant par ce vers "Grâce à cet arbre...",
-avec des éléments observés, d'autres imaginés,
-en s'appuyant sur le vocabulaire vu en classe (le solstice d'été, l'équinoxe d'automne...),
-avec quelques rimes, du rythme, du jeu et du plaisir des mots,
-dans des lignes ni trop courtes ni trop longues (chaque ligne ou vers entre 5 et 13 syllabes).
Le texte d'entraînement et le poème de saisons ne pas à mettre sur la table du DST et il s'agira de s'adapter au sujet présenté en suivant bien les consignes. Et que chacun, chacune savoure qu'il y aura un temps pour améliorer, développer ou finir ce texte.
Relisez pour assurer la lisibilité, l’orthographe, dont le respect des accords basiques.
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Une hutte dans la forêt
Cinq enfants s’aventurent dans une forêt sombre. Même s’ils avaient pris des lampes de poche, il faisait encore très sombre. Les hiboux hululent et les branches craquent au fur et à mesure de leur avancée. Au fin fond de la forêt, ils aperçoivent une hutte. Ils entendent une brindille se casser, puis des bruits de pas. Un loup bondit d’un buisson. Les cinq enfants se mettent à crier et à courir dans tous les sens ! Le loup les poursuivait jusque dans la ville ! Les enfants entrèrent dans leur repaire et essayent de bloquer la porte avec tout ce qu’ils trouvaient. Le lendemain, les enfants rouvrirent la porte, rien ! Le loup était parti en laissant le bonnet de la petite fille sur le paillasson. Les enfants ont alors décidé de retourner dans la forêt espionner le loup. Ils se cachèrent derrière un gros arbre et se sont tus.
«Grâce à cet arbre, Nous avons pu espionner le loup, Sans qu’il ne nous remarque, Mais ce n’est pas un loup, C’est un chien !»
Les enfants décidèrent d’aller le voir. Une vieille dame sortit de la hutte. Elle amène les enfants dans sa hutte et leur sert un chocolat chaud. Le chien est entré aussi. Il a sa gamelle et son panier. Les enfants comprirent alors que le chien appartenait à la vieille dame… Désormais, les enfants viennent dans la hutte tous les jours après l’école. Ils décorèrent la forêt et la hutte pour toutes les occasions.
Texte A
J’aime que la femme ne soit pas une sorcière, vive les histoires qui se finissent bien et dans la bonne humeur !
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Une histoire dans la forêt
Il était une fois une personne étrange qui se baladait dans la forêt. Il commençait à faire nuit. Ça faisait longtemps que cette personne étrange se baladait. Une heure plus tard, la personne étrange était rentrée chez elle. Le lendemain il y avait des enfants qui jouaient au football. La personne étrange n’était pas là. Je vis un papier plié plusieurs fois. Je l’ouvris et dessus il y avait marqué : «Grâce à cet arbre je suis encore en vie. Le jour où les chasseurs chassaient, j’ai entendu un coup de fusil, Je me suis caché derrière cet arbre où je m’inquiétais. Le soir en rentrant chez moi, je me couchai.»
Ce poème n’était pas signé. Mais je pense que c’était la personne étrange qui l’avait écrit. J’ai demandé aux enfants s’ils connaissaient la personne étrange. Ils ont dit qu’ils l’avaient déjà vue et qu’elle vivait seule chez elle. Puis je suis rentré chez moi et j’ai mangé en pensant à la personne étrange. Le lendemain, je suis allé voir dans la forêt. La personne étrange était là. Le soir, quand elle partit, je le suivi en, cachette.
Elle habitait au milieu de la forêt. Je toquais à sa porte puis la personne étrange m’ouvrit la porte. Je m’installais tranquillement et je lui demandais son prénom. Il m’a dit « je m’appelle… ». Ensuite il me dit «Je ne me rappelle plus mon prénom.». « On pourrait t’appeler Claude.», dis-je. Après on parlait jusqu’à très tard. Puis je lui proposai «Est-ce que tu veux bien que je dorme chez lui ?». Puis, chaque jour on se balada dans la forêt et nous vivions ensemble jusqu’à la fin de vie de Claude. Nous étions dans la forêt, tout à coup il me dit : «Tu veux que je te montre mon arbre préféré ? ». J’ai accepté bêtement. Puis nous sommes allés voir son arbre. J’avais oublié de lui donner son poème et je lui redonne.
Mais quand nous étions arrivés à l’endroit de l’arbre, l’arbre avait disparu. Quand nous sommes rentrés chez nous, nous nous sommes endormis directement. Le lendemain, Claude avait disparu. Je l’ai cherché partout, mais je ne l’ai pas trouvé. Je me suis dit qu’il était mort. Un an plus tard, je me baladais dans la forêt, et là, je vis Claude à genoux devant l’arbre mystérieux.
Texte B
Quel mystère… bravo pour ta créativité ton histoire est très originale !
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Les champignons pénibles
Un jour monsieur W., qui avait un chien comme ami, pensa que cela serait bien s'il allait dans la forêt magique avec son ami le chien. «Allez, mon ami j’ai pensé que ça serait bien d’aller avec toi dans la forêt magique!» «Wuaf, wuaf!», dit le chien qui voulait dire, «Oui, bien sûr!». C’était un jour très froid, sur l'application de météo, les météorologistes disaient qu’il pleuvra à minuit. Mais pour le moment il y avait beaucoup de feuilles, rouges, vertes, jaunes, violettes et oranges, les arbres étaient très mécontents à cause du froid et en plus(!) les météorologistes avaient prévu qu’il pleuvra à minuit. Mais revenons à monsieur W. et son chien puisqu’ils sont presque arrivés dans la forêt. «Oui, c'est ça la forêt magique», a dit Monsieur W. en souriant. Tout était calme sauf des batailles à 25 cm. autour de Monsieur W. et son chien.
Il y avait les sorcières et les ogres aussi, mais c’était beaucoup moins intéressant que les champignons. «Maintenant on va les ramasser», dit Monsieur W. «Ah!» Ses lunettes sont tombées une seconde après et il a vu une image incroyable ! Un grand lion a sauté sur lui, après des petits bandits l’ont attaqué, après des géants le regardaient avec la tête qui signifiait : «On va le manger !» Mais heureusement monsieur W. a retrouvé ses lunettes et le lion en réalité était son chien, les petits bandits étaient les champignons et les géants étaient des arbres. «On va rentrer à la maison» dit monsieur W. en ramassant les derniers champignons et il commença à revenir à la maison en chantant : «Grâce à un arbre, Je brille comme du marbre. Grâce à la forêt, Sur les chemins je vais Grâce aux animaux, Je suis toujours très beau !»
Texte C
J’aime particulièrement ce texte, j’aime la cohérence de l'écriture, l’emploi du passé, et surtout la créativité d’une histoire aussi absurde… et pourtant si parlante ! qui ne s’est pas imaginé des histoires bien plus effrayantes et fantastiques dans sa tête que dans la vraie vie ?
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Une nuit d’automne en forêt
J’ai vécu plein d’histoires pendant l’automne. Je vais vous en raconter une. C’est une cueillette avec deux copains. On a trouvé des châtaignes et cèpes ! Nous nous sommes égarés dans la forêt avec peu d’outils pour nous défendre et de quoi manger. Près d’un grand arbre, nous avons trouvé une grotte pour nous abriter pendant la nuit. Nous avons ramassé des branches pour faire un feu, construire une porte pour la grotte et fabriquer des armes pour nous défendre. Lors de cette veillée près du feu sous ce bel arbre, Un de mes amis a joué au cuisinier et a crié : « menu du soir : châtaignes ! ». L’autre est devenu poète :
«Grâce à cet arbre on vit des histoires. Pomme, cèpes, châtaigne, poire Le feu grille nos châtaignes pour le soir. Pomme, châtaigne, cèpe, poire La poire c’est la saison alors on se fend la poire.» Pendant la nuit on a rêvé d’un ours qui voulait nous manger pour l’heure du petit déjeuner. Mais en fait c’était un sanglier qui mangeait nos réserves.
Texte D
Parfois, un bon texte, c’est un texte tout simple, humble, qui nous rappelle de bons souvenirs ! J’aime !
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Une rencontre hors du commun
Il était une fois cinq ados qui se nommaient : Jules, Paul, Anna, Jeanne et Mia. Tous les cinq adoraient les aventures, les mystères. Un jour, par une nuit d’automne orageuse, Jeanne entendit des bruits bizarres venant de l’extérieur. Elle se leva mais elle ne vit rien. Deux minutes plus tard, elle réentendit les bruits. Jeanne se releva et vit un petit lapin blanc sur le rebord de sa fenêtre. Elle le ramassa puis le posa délicatement sur son lit. Jeanne lui demanda : «Comment es-tu arrivé ici ? » Elle ne s’attendait pas à avoir une réponse. Le lapin, qui s’appelait Pampan, lui répondit : «Mon ami Caramel a disparu hier, j’ai entendu dire que vous adoriez les aventures, les mystères… Donc je me suis dit que vous pourriez m’aider à le retrouver ! Mais je ne veux pas vous obliger. »
Le lendemain matin, Jeanne alla raconter son incroyable aventure à ses amis puis leur demanda s’ils étaient d’accord pour l’aider. Ils lui répondirent : « Bien sûr que nous sommes partants ! » Ils allèrent faire leurs bagages. Paul, le chef de la bande, avait précisé qu’ils partiraient le lendemain à l’aube. Ils allèrent tous se coucher, une grande journée les attendait. Au réveil, ils partirent avec le lapin. Ils traversèrent des montagnes, des rivières pour atteindre la forêt magique. Le lapin les guida jusqu’au conseil de la forêt. Le chef était un singe qui commença à réciter un poème :
« Grâce à cet arbre magique, Les êtres de la forêt sont protégés. Il nous défend du plastique, Des déchets et des personnes qui oseraient nous juger. »
Tout le monde le répéta après lui. Il nous donna un parchemin pour nous aider à retrouver Caramel. Ils partirent et le retrouvèrent accroché à un arbre. Ils le décrochèrent et le ramenèrent chez lui. Pour les remercier, le lapin organisa une grande fête. Après ils rentrèrent tous chez eux. Avant de repartir, Pampan les remercia du fond du cœur. Mais il leur dit : «Ce n’est pas fini : je sais qu’ils reviendront. -Qui reviendra ? », questionna Mia. «Les méchants, bien sûr ! -Non, nous les avons bannis !», s’exclama Jules. «Vous ne comprenez donc pas ?», demanda Pampan. «Peut-être que, si tu nous expliques, on comprendra mieux.», rétorqua Jeanne. «Désolée, voici ce qui est arrivé. Il y a des siècles, tous les animaux de la forêt vivaient en parfaite harmonie. Mais un jour, Dame Nature se fit tuer par des chasseurs. La peur dominait la forêt, les chasseurs domptaient les loups, les ours et les renards n’y échappaient pas ! Même des oiseaux étaient apprivoisés. Depuis la Forêt est divisée en 2. L’autre clan est persuadé que ce sont nous les méchants, donc ils veulent se venger.» Les enfants dirent : «C’est bien dommage, nous allons essayer dans une prochaine aventure de réconcilier tout le monde.».
Texte E
Tout est possible ! L'écriture est un joli outil pour coucher ses rêveries sur le papier ! continue !
Les quatre amis et l'automne
La vie en automne est peut-être moins belle qu'en été, les feuilles tombent, le ciel devient gris, il fait froid... Il y a plein d'autres raisons pour lesquelles l'automne est une moins belle saison que l'été, mais pourtant certaines personnes aiment l'automne. Et vous, si vous deviez choisir ? L'été ? L'automne ? L'hiver ? Ou bien le Printemps ? En tout cas pour ces quatre amis l'automne était leur meilleure saison.
C'est l'histoire de quatre amis du nom de Georges, Lili, Rose et Alice. Ils ne savaient malheureusement pas quelle activité faire. Georges proposait de la montgolfière, Lili du trampoline, Rose un escape-game et Alice de l'accrobranche. Ils décidèrent donc de jouer à chifoumi. On commença par Alice contre George, puis Lili contre Rose et pour finir Alice contre Lili. C'est par grand bonheur que Alice gagna. Ils sont donc tous allés à l'accrobranche de Bercy.
Mais Lili avait caché quelque chose d'assez grave à ses amis, elle avait le vertige.
Elle avait peur que ses amis se moquent d'elle. Mais Lili avait oublié que Georges, Rose et Alice ne se moqueraient pas d'elle s'ils sont ses amis. Elle simula donc un mal de ventre et une envie de vomir. Une fois descendue, Alice demanda à Lili ce qui n'allait pas, mais Lili ne voulait pas répondre. Alice comprit donc toute seule que Lili avait le vertige, elle lui dit que ce n'était pas du tout grave mais qu'elle aurait dû lui en parler. Lili était donc rassurée et prit son courage à deux mains et remonta sur l'esplanade. "Ben oui, Lili tu aurais dû nous en parler.", dit Georges. "Oui, il a raison.", répéta Rose. Lili était à présent rassurée et en toute harmonie avec ses amis. Les quatre amis resteront soudés à vie.
Grâce à cet arbre, tu n'es pas tombée, il t'a accrochée.Grâce à cet arbre, tu es en vie, tu n'es pas partie. Grâce à cet arbre qui t'a fait la peur de ta vie, tu es encore là aujourd'hui. Grâce à cet arbre, tu es toujours parmi nous dans le calme et dans notre amitié.
Texte F
Quelle douceur ! j’aurai aimé avoir des amis si bienveillants à ton âge ! ton texte est très touchant !
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Les aventures ne se finissent jamais
Je me souviens de ce jour où je me baladais dans la forêt. D’ailleurs j’aimerais vous raconter mon histoire. Tout a commencé un lundi. Je partis pendant une semaine pour camper avec mon meilleur ami dans la forêt. Nous marchions doucement à la recherche du campement, quand il me dit : - Ne fais pas un pas ! Sur le moment je ne compris pas, puis je vis un loup marcher à environ dix mètres. C’était un bébé, il avait l’air d’avoir peur, alors je m’avançai vers lui, puis il me sauta dessus et me lécha le visage. Peu après, je le mis dans mon sac et j’ai décidé de l’appeler Éclair puis nous continuâmes notre route. Cela fait maintenant deux heures que nous cherchons le fameux campement, maintenant je peux le dire nous sommes perdus. Nous avons longuement discuté et nous avons décidé de construire notre propre cabane. Nous nous sommes distribué les rôles : Éclair va nous chercher à manger, mon ami va chercher du bois et moi je m’occupe de construire la cabane et de faire du feu. Maintenant que la nuit est tombée nous devons aller dormir dans notre prétendue cabane.
Le deuxième jour était relativement tranquille nous sommes restés dans la cabane presque toute la matinée. L’après-midi nous nous sommes baladés dans la forêt. A un moment nous avons aperçu un arbre si joli qu’il me faisait penser à une poésie que notre professeur nous avait demandé d’inventer en 6e :
Grâce à cet arbre on peut se peut se promener En respirant de l’air après l’été J’aime tant entendre le vent dans mes oreilles Partir en forêt, cueillir de l’oseille. Je trouve que c’est une très belle poésie. Pendant que je la récitai Éclair retrouva sa maman et nous rentâmes dans notre cabane pour la finir sans lui.
Demain c’est l’anniversaire de Joseph-Lauret (mon ami) mais le cadeau que je lui avais pris a disparu. Alors je lui ai dit que je partais chercher du bois, alors que ce n’était pas vrai. Au bout de quinze minutes, je vis une plage qui était à l’est, là où le soleil se couche ! En revenant, je vis la meute et je leur demandai de crier pour demain soir. Vous devez vous demander comment je peux leur parler, eh bien je leur parle comme je vous parle.
Le soir venu, je lui demandai de fermer les yeux le temps que les loups se préparent, puis il les rouvrit et les loups crièrent. Il me remercia, puis la semaine terminée, nous rentrâmes chez nous. Aujourd’hui je soigne des loups en difficulté et je les aide à aller mieux pour qu’ils puissent un jour eux aussi retrouver leur maman en forme comme Éclair.
Texte G
Quelle aventure ! on en voudrait la suite !
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Le temple aztèque
Je suis un journaliste qui fais un reportage en Amazonie sur les félins. Presqu'un quart d'heure que je marche entre les arbres, j'aperçois un guépard. Je le prends en photo et je regarde l'image : Zut ! on aperçoit juste la queue du guépard. Je la regarde de plus près et je remarque derrière les feuillages un mur en pierre. Je m'approche, c'est un temple aztèque ! À l'entrée se trouve une pierre gravée que je lis :
Grâce à cet arbre, l'automne ne pénètre pas. Quiconque dans ce temple sera face au guépard S'il réussit à passer la panthère noire Toutes les plantes mourront et l'automne se déchaînera
Après avoir lu ce texte mystérieux, je cherche l'arbre des yeux. En effet il y en a un, immense et magnifique, sur le temple. Je décide de faire le récit de mon aventure dans un article pour mon journal et je rentre chez moi pour le rédiger et l'envoyer. Le lendemain, le journal avec mon article se vend comme jamais !
Texte H
Quelle chance ! je rêve de ce genre de rencontre ! j’aime beaucoup tes descriptions, on se croirait dans la jungle.
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Récit d’une aventure en forêt
Il était une fois trois personnes qui se mirent à chercher une forêt. Il y avait Paul, Claude et Marie. Ils étaient déjà partis de leur maison depuis 5 jours. Ils avaient promis à leur mère de s’en sortir d’ici un an. Paul trouva une forêt en un mois mais elle n’était pas très belle. Ses feuilles étaient toutes vertes, c’était l’été. Les trois amis continuèrent jusqu’à ce qu’ils trouvent la forêt parfaite. Claude, lui, a pris cinq mois pour trouver une forêt, mais malheureusement elle n’avait plus de feuilles, c’était l’hiver, et il ne voulait pas attendre la prochaine saison.
Alors il ne restait que Marie qui n’avait pas trouvé de forêt. Elle trouva une forêt en dix mois. Elle adorait sa forêt mais il y avait un problème : elle était allergique au pollen. Ils ont donc continué à chercher une autre forêt, et finirent par en trouver une qui leur plaisait à tous. Il faisait bon, pas trop chaud ni trop froid, et les arbres étaient de plein de couleurs : rouge, orange, jaune. Paul vit un arbre et se dit :
«Grâce à cet arbre, nous aurons un abri proche Les glands et les marrons dans la poche Les averses automnales, les feuilles colorées Quoi de mieux que ça le sol est doré Les fruits d’hiver les pommes, le raisin et les vendanges L’équinoxe d’automne, Halloween tout plein d’anges Ces bons moments remplissent nos cœurs Parce que ça c’est le bonheur.»
Ils ont tous les trois bossé et leurs efforts ont été récompensés. Ils ont fait un super abri. Ils sont après retournés voir leur mère au bout de douze mois. Ils lui ont expliqué ce qui leur était arrivé.
Texte I
Super ! j’aime que tu aies suivi la cohérence de ton histoire, elle me plait beaucoup ! on dirait une comptine ou un poème !
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Les mots d’un poème
C’était aujourd’hui qu’Arthur se rendait dans la forêt. C’était une forêt qu’il avait étudiée depuis longtemps. Très longtemps. On disait de cette forêt qu’elle était incroyablement belle. Mais si par malheur on y allait seul, il était à peu près sûr qu’il n’y avait aucune solution pour ne pas se perdre dans ce gigantesque bois. Arthur, ayant peur organisa toute une expédition pour savoir si ce qu’on racontait de cette forêt était vrai. Puis, il commença à marcher sur la terre dure de la forêt.
Il n’avait pas plu depuis une quinzaine de jour. Cela était bizarre car on entrait dans la saison de l’automne et on voyait déjà les feuilles rouge et orange se balançant au rythme du vent sur les arbres qui commençaient à se dégarnirent. C’était magnifique ! Arthur était époustouflé par cette beauté inouïe. Il s’arrêta pour admirer le spectacle mais se reprit vite car il fallait avancer et la nuit tombait. Après la nuit passée, Arthur se leva de bon matin. La forêt était si belle à cette heure ! Puis, il jugea bon que faire un peu d’exercices ne lui ferait pas de mal. Tandis qu’il courait en essayant d’éviter les troncs d’arbres qui lui faisaient face, il entendit un bruit. Il se rapprocha pour comprendre d’où venait ce son. Il était quasiment certain que ce n’était pas un membre de l’expédition qui (comme lui) faisait une balade. Il se bloqua sur place et écouta. Il s’approcha du bruit puis regarda derrière un arbre. En effet ce n’était pas un membre de l’expédition, mais un homme qui chantait tout seul et qui répandait des graines sur le sol. Alors il écouta la petite mélodie :
«Grâce à cet arbre, On entend le bruit du vent me siffler dans les oreilles, Grâce à cet arbre, Les feuilles sont des merveilles Grâce à l’équinoxe d’automne, Je ne quitterai cette forêt pour rien au monde».
C’était si beau ! Arthur était tellement émerveillé par ce poème qu’il ne pensa plus un instant à se cacher. Il demanda qui était l’homme et surtout d’où venait ce poème. Le monsieur qui n’avait pas l’air surpris le moins du monde que quelqu’un l’écoute lui répondit aimablement qu’il n’avait pas de nom mais qu’il plantait des arbres. Arthur, surpris, voulut absolument avoir plus de renseignements et lui dit d’un ton plein d’espoir s’il voulait bien l’accompagner dans son expédition mais l’homme ne voulut pas. Il préférait planter des arbres. Arthur repartit donc, et rentra dans son village. Malgré tout, il était heureux. Cet homme avait changé le monde pour Arthur. Pas par une action, mais par des mots. En effet, il avait compris que tout ce qui l’entourait était beau.
Texte J
Continue d’écrire ! il faut des livres entiers de ces aventures !
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Vobon et Oscar
Grâce à cet arbre, me vint l’idée d’une intrigue Qui me fit du bien Je vis aussi ce cher Fabien Qui créait des digues. Ça c’est Oscar qui chante sa joie, car il est protégé de l’océan dévastateur (sinon il pourrait tout inonder) Puis il regarda autour de lui et vit…une tente. Il trouva cela étrange et s’empressa de s’y rendre. Il comprit très vite qu’il s’agissait de la tente de Fabien et décida de poursuivre sa route. Plus tard en se promenant, il vit un drôle de nain. Celui-ci lui demanda :
-Bonjour, comment t’appelles-tu ? -Je m’appelle Oscar et toi ? -Moi je suis Vobon. Que fais-tu là ? -Je campe, et toi ? -Moi, j’habite ici depuis bientôt cinq ans. -Moui... et quel âge as-tu ?, dit Oscar, un peu surpris. Il paraissait un peu petit pour son âge et Oscar s’inquiéta sérieusement : -Il est tard, je dois y aller, prétexta Oscar. Un peu plus tard, dans sa tente, Oscar réfléchit. Et si c’était vrai ? Pour se changer les idées, Oscar alla à l’accrobranche. Il commença par faire le parcours 2, qu’il trouva simple. Il décida de faire le parcours 7. Il eut beaucoup de mal à le terminer. Lors du parcours 5, qui n’était constitué que de tyroliennes : ces grands filins suspendus qui permettent de se déplacer d’un arbre à un autre, il rencontra une difficulté supplémentaire. A mi-parcours, Oscar se retrouva soudain bloqué car il avait mal positionné sa poulie. Pris de vertige, il réussit tout de même à remettre le système en place et put poursuivre son déplacement. Il était soulagé de s’en être sorti sans avoir à demander de l’aide.
Puis, il décida de s’en aller et de ne pas en parler. Ce moment de frisson et de peur intense devait rester pour lui. Il passa alors un excellent week-end avec Fabien : cet équinoxe d’automne était magique.
Texte K
Écrire m’aide beaucoup à dépasser mes peurs, on dirait que toi aussi ! continue, même juste pour toi même dans un petit carnet !
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La fée Gabrielle
Il était une fois, dans une sombre forêt d'Europe, une grotte magique. Une grande magicienne nommée Gabrielle y récitait des poèmes emplis de paroles qui font du bien. Tous ceux qui avaient des soucis venaient la voir et elle les «guérissait». Elle était très belle avec ses longs cheveux bruns aux reflets d'or et ses yeux sombres.
Un jour, un frère et une sœur, Jean et Élisabeth, dont les parents venaient de mourir, décidèrent de partir en forêt pour trouver Gabrielle dont ils avaient maintes fois entendu parler. Mais aux abords de la forêt noire, Élisabeth, qui n'avait après tout que huit ans, prit peur. Son grand frère de douze ans la rassura et ils s'engagèrent sur le chemin envahi de ronces. Un peu plus tard, ils arrivèrent à une grande clairière. Il commençait à faire nuit et Jean, bien embêté car il n'avait rien prévu, regarda autour de lui et vit à travers les feuilles mortes, deux yeux jaunes qui le fixaient. - Un loup ! se dit-il terrifié, Il ne manquait plus que ça ! Le loup, car c'en était bien un, lui dit : - Ne t'inquiète pas Jean, je ne te veux que du bien. - Mais qui es-tu ?, lui demanda Élisabeth - Je suis le loup de Gabrielle, la grande magicienne de la forêt. - S'il te plaît, emmène-nous auprès d'elle !, supplia Jean. - D'abord, répondit le loup, je dois savoir qui vous êtes. -Nous sommes les enfants de la grande Esméralda et de l'enchanteur Merlin, répondirent les enfants en chœur. - Alors c'est d'accord. Et il les fit monter sur son dos doux comme du velours. -Accrochez-vous à mes poils, petits.
Il partit en courant, sautant au-dessus des rivières et grimpant sur les collines à une vitesse impressionnante. Une heure plus tard, ils étaient arrivés. - Bonjour ! les accueillit Gabrielle, merci mon loup, tu peux repartir dans la forêt. Elle les fit entrer dans sa grotte. Là, au milieu, trônait un grand arbre. -Pourquoi t'encombrer d'un tel arbre ? demanda Jean. -Car... -Oui ? s'impatienta Élisabeth.
Grâce à cet arbre Qui est dur comme du marbre Mes hôtes qui viennent des bois Sont tous en joie Et ils vivent heureux Car il suffit de peu Pour être joyeux. Je comprends..., fit Jean, pensif. Pouvons-nous rester ici ? -Bien sûr, dit la magicienne. -Super ! Qu'en penses-tu, Élisabeth ? Mais Élisabeth ne répondit pas : elle dormait déjà sur le lit de fougères et d'herbes grasses que Gabrielle avait fait apparaître pour eux.
Plusieurs jours après, un homme se présenta en disant : -Je viens récupérer les enfants qui sont sous votre garde car... Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase, Élisabeth l'avait endormi grâce à une formule qu'elle avait apprise aux côtés de sa mère, Jean l'avait assommé grâce à une incantation qu'il avait apprise avec son père. Gabrielle était stupéfaite et elle leur apprit tout son savoir.
Texte L
Quelle créativité ! j’aime beaucoup ton vocabulaire et ton univers ! tu me fais rêver !
*
David va dans la forêt de Meudon
Tout commença un samedi quand David arriva à la forêt de Meudon. Il y pénétra. Où suis-je ? Il parla à deux individus, n’avez-vous pas vu la fabuleuse PSG Academy ! Non répondirent les individus mais si tu peux te renseigner auprès du restaurant la « Mare au Canard », «Mais où se trouve-t-il ce restaurant » ?, demanda David. C’est très simple, si tu continues tout droit à gauche, puis à droite et tu es arrivé.
David courut en suivant les instructions reçues. Une fois arrivé à destination, il entendit : « Entrez !», dit le serveur qui attendait devant le restaurant. Le serveur dit «Voulez-vous une table pour manger mon petit ?», « Non merci », répondit David. « Mais plutôt une question à vous poser. Vous êtes bien la Mare au Canard ? ». « Sauriez-vous où se situe la fameuse PSG Academy. « Oui » répondit le serveur « il faudra aller tout droit puis tourner à droit, continuez tout droit vous verrez une pancarte sur laquelle sera inscrit PSG Academy ». David, heureux d’avoir obtenu cette précieuse information, partit immédiatement et se précipita. Sur le chemin il croisa des personnes qui le virent courir et se posèrent la question suivante «Où va-t-il ? ». David fou de joie répondit « A la fabuleuse PSG Academy », arrivé sur place, il joua pour la première fois à la PSG Academy. Les différentes saisons Grâce à cet arbre, les feuilles tombent et le vent souffle. En hiver, la neige arrive la fraicheur. Au printemps, les feuilles repoussent, et, en été, la chaleur est le bonheur, le tout fait notre joie.
En tout il y a 4 saisons et 12 mois par an, ce qui nous apporte de la gratitude ou de la joie. Et il y a l’équinoxe d’été et d’hiver et aussi le solstice d’automne et du printemps. Au solstice d’automne il y a septembre, octobre, novembre. Puis au solstice du printemps, il y a : mars, avril, mai. Puis il y a l’équinoxe d’été qui se compose de : juin, juillet, aout et d’hiver avec : novembre, décembre, janvier, février.
Texte M
Par l'écriture, on décide d’inventer le monde, et on voit le monde réel différemment en même temps ! bravo!
*
L'arbre aux armes légendaires
Il était une fois Jone, Jone était très timide mais très musclé et très intelligent. Son père lui disait de partir chercher les armes légendaires, mais il a peur Jone mais un jour, il dit je partirai chercher les armes légendaires quand j'aurai 25 ans. Maintenant j'ai 25 ans mais mon père ne veut pas fêter mon anniversaire, il m’a dit ramène d'abord les armes légendaires ok je pars tout de suite, ça fait 5ans que je cherche. J'ai la carte, ah non c'est un parchemin, bon je suis où vous êtes dans la forêt des Vortin, vous m'avez fait peur mais vous êtes où ? bon je vais chercher des personnes qui veulent bien venir avec moi.
On est derrière toi, encore, bon vous êtes combien on est vingt, ok je vais vous faire passer les tests. Vous dix, vous êtes pris, désolé les autres, vos noms s'il vous plaît, moi c'est Joane, moi c'est Nïoa, moi c'est Nour, moi c'est Dior, moi c'est Dadaba, moi c'est Noémi, moi c'est Mohamed, moi c'est Nana, moi c'est Monida et mon petit frère s'appelle Joni oui c'est vrai ok moi je m'appelle Jone. Bon qui sait ou est cet arbre, moi je sais ok il est ou alors Joni, il faut d'abord traverser le lac le plus dangereux de la forêt, juste c'est dans combien de temps, c'est l'équinoxe d'automne dans trois jours merci Nour, allez on y va. On l’a enfin trouvé après une journée de recherches, allez tout on va le traverser mais c'est facile en plus les crocodiles nous ont fait le taxi oui je sais mais la dernière fois que je l'ai fait c'était quand j'avais cinq ans, pourquoi tu cherches une excuse, on ne va pas rigoler, ah bon je croyais que vous alliez rigoler. L'arbre, il a des pieds mais comment on va faire j'ai une idée c'est quoi ton idée Noémi ?, en bas du parchemin, il a écrit qu’'il faut attendre l'équinoxe, je vois où tu veux en venir, bon on doit attendre deux heures, capitaine vous pouvez chanter un poème, ok Mohamed.
Grâce à cet arbre géant la forêt est magnifique Cet arbre est tellement magnifique Que même la beauté n'est pas magnifique Même la beauté est jalouse de cet arbre magnifique Cet arbre est splendide est magique. C'est incroyable votre poésie, oui c'est vrai vous êtes tous sérieux, oui merci mais maintenant on attend combien de temps ? Une heure, quoi bon ce n’est pas grave, maintenant on fait une séance de sport, oh l’arbre il a quoi, il bouge plus vite l'équinoxe ne dure pas indéfiniment yes yes yes… Oh non ce n'était qu’un rêve, bon bah, je dois tout refaire.
Texte N
Quel dénouement ! tu as l’art de la surprise !
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Au début de l’automne
Il était une fois un petit garçon qui s’appelait Tommy. Il partit avec ses parents voir dans la forêt les arbres. Car dans cette forêt, il y avait de très beaux arbres. Quant à lui, Tommy ne s’intéressait pas aux arbres et se moquait complètement de la forêt. Ses parents, eux, adoraient la nature et les végétaux. Ils trouvaient cela incroyable d’être ici. Mais pas leur fils Tommy. C’est pourquoi, les parents lui parlaient beaucoup des arbres et souhaitaient que Tommy s’y attarde davantage. D’ailleurs, sa mère lui apprit qu’un arbre en particulier lui avait donné envie d’aller en forêt et le goût pour la nature. Elle lui dit « Grâce à cet arbre, j’ai découvert le vert de toutes ces feuilles et tous ces écureuils qui se baladent de feuille en feuille ».
L’enfant répondit alors «C’est vrai ? Comment as-tu trouvé l’arbre magique ?». Sa maman, lui expliqua qu’il allait le trouver dans la fameuse forêt. Tommy regarda ensuite tout autour de lui et observa tout le vert de la nature qui apparaissait devant ses yeux. Il eut une idée, il décida de se rendre dans la forêt et annonça à sa famille.
Sa mère s’exclame «Incroyable ! Quand pars-tu ? » Le fils répondit à peine et partit directement dans la forêt. Puis, il regarda attentivement tous les arbres mais il ne dit rien. Il remarqua en plus qu’il s’était perdu, il ne perdit pas son temps et repartit immédiatement, sauf que la nuit tomba.
Tommy désespéré se dit qu’il allait mourir seul dans cette forêt. Tout à coup, il entendit des bruits, des hurlements « OUUUhOUhhhhOUhhhh ». Il se réfugia dans une grotte ; hélas, il y avait des loups enragés. Le petit garçon courut jusqu’à un arbre un peu spécial. En effet, l’arbre tapa les loups avec ses branches. Le danger fut éloigné. Le petit garçon était choqué mais sauvé. Il comprit que c’était lui le bon arbre, l’arbre magique. La nuit passa. Puis, il se réveilla chez lui sans savoir ce qu’il s’était passé exactement. Il retrouva ses parents dans la cuisine et leur raconta son histoire tout content. Mais ses parents ne comprirent rien et dirent ensemble et en chœur « Nous n’aimons pas les arbres ». Tommy dit enfin : «C’était un rêve».
« Grâce à cet arbre, je vais découvrir le vert de cette nature flamboyante, les feuilles et tous ces écureuils qui tombent sur les feuilles orange, tous ces marrons que nous mangerons pour le dîner dès demain midi. Et tous ces arbres que nous avons envie de prendre pour mettre dans notre chambre ».
Texte O
J'espère que Tommy a continué d’aimer les arbres, tu as beaucoup transmis l’amour de la nature à travers tes mots !
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Le campement extrême.
Il était une fois trois personnages, trois frères américains de l’État du Mississipi. Le plus âgé s’appelle Franklin, il a vingt ans. Les deux autres se prénomment Steven et Johnny. Ils sont tous deux âgés de 18 ans car ce sont des jumeaux. Les trois frères ont décidé de partir camper pour s’amuser dans la forêt des lucioles située à la sortie de Biloxi, la ville où ils résident. Une fois arrivés sur place, vers 17h, ils commencent par planter leurs tentes : une pour Franklin, une autre pour les jumeaux toujours inséparables. Peu habitués à faire du camping, et pas très doués pour les travaux manuels, ils finissent le montage de leur campement au bout de quatre heures. Il est alors 21 heures et la nuit est déjà tombée.
Après ce travail difficile, Franklin propose à la fratrie, pour se redonner du courage et de l’entrain, de réciter chacun leur tour une poésie de leur choix. Hélas, Steven et Johnny, ne sont pas très enthousiastes à cette idée car eux, ce sont les histoires qui font peur qu’ils préfèrent. Toutefois, Franklin, en tant que frère ainé, décide quand même de choisir les poèmes et dit d’un ton autoritaire : « C’est moi qui commence pour la poésie, pour les histoires d’horreur, on verra plus tard ! ». C’est alors que Franklin, d’une voix assurée et forte, commence à déclamer ses vers :
«Grâce à cet arbre, je peux faire des cabanes. Grace à ses branches, je peux être grand mais aussi tomber car je suis trop lourd. Mais au moins, je vois l’horizon et, sur lui, le soleil couchant». L’ainé se retourne alors vers ses frères et lance : « Peut-être que ma prose n’est pas très imaginative. Qu’en pensez-vous ? Vous avez une meilleure idée ? ». Johnny répond alors : «Oui, j’ai une idée ! : plutôt que la poésie, je vais vous raconter une histoire d’horreur, une histoire qui va vous faire frémir de peur toute la nuit ! : il était une fois trois amis qui se rendaient en avion en Nouvelle-Calédonie depuis le Canada. A peine en vol depuis quatre heures, les trois compagnons s’ennuyaient déjà. L’un deux regarda par le hublot et vit alors un objet percuter avec force le réacteur gauche de l’appareil, qui se mit instantanément à prendre feu. L’aéronef commença alors à perdre de l’altitude et à tournoyer de plus en plus vite dans le ciel. Après quelques secondes seulement de chute, il percuta violement le sol dans un bruit fracassant. Après un court temps de désorientation, les amis ouvrirent les yeux et virent qu’autour d’eux que la plupart des passagers était gravement blessé, alors que d’autres étaient sans vie ! Les trois hommes pouvaient à peine bouger mais, à force de courage, ils parvinrent tout de même à sortir de la carlingue disloquée. Une ile immense s’offrit à leurs yeux. Après de longues minutes de marche dans une jungle dense, ils arrivèrent à l’entrée d’un village, apparemment désert mais ou le sol était jonché de cadavres. Soudain, une horde de cannibales déchainés et affamés se précipitèrent dans leur direction. Alors … ».
Johnny se tut. Après un silence de plusieurs secondes, il ajouta « merci de m’avoir écouté. J’ai choisi cette histoire, car il y a 50 ans à peine, une tribu cannibale vivait encore dans la forêt des lucioles. Je vous souhaite une excellente nuit ! ». Les trois frères se souhaitèrent une bonne nuit, en pensant à la journée du lendemain en forêt et au bord du lac. Le lendemain, bien que la nuit fût courte et peu sereine, Franklin et ses frères profitèrent de leur journée en faisant de l’acrobranche, du jet ski sur le lac et pleins d’autres activités. En fin d’après-midi, ils rangèrent leur campement et, avant que le soleil du solstice d’automne ne disparaisse dans les eaux sombres du bayou, ils reprirent le chemin de Biloxi.
Texte P
Tu m’as donné des frissons !
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Une journée avec la nature
Par une douce et belle journée d'automne, j'étais avec mes amis Paul et Antoine. Nous ne savions pas entre ranger notre chambre et faire nos devoirs. Mais là j'ai eu une idée pourquoi nous n’allions pas dans la forêt pour y faire un repère secret ; je leur ai demandé et ils ont dit oui. L'automne et ses feuilles qui jaunissent, rougissent. Il y a plein de feuilles en automne, il y a beaucoup de marrons et nous avons plus de temps pour les ramasser car on peut profiter autant du jour que de la nuit. Ce phénomène s'appelle l'équinoxe d'automne.
Nous sommes partis en forêt, un tapis rouge nous accueillait, les feuilles bruissaient sous nos pas. Nous avons vu deux chênes majestueux. Nous nous sommes dirigés vers eux, puis nous avez vu des branches de feuilles. Nous étions en train de les positionner quand tout à coup nous avons vu un éclair puis il y a eu de la pluie.
Paul dit alors : Grâce à cet arbre tout est brutal En automne, tout est monotone En hiver, vite un somnifère Au printemps, chouette on a tout le temps En été, tout redevient gaieté. Puis nous sommes allés raconter cette aventure à nos parents. Ils n’ont pas été très contents. Nous n’avions pas ranger notre chambre, les devoirs n’étaient pas faits et puis nos affaires… il fallait les laver. Les parents étaient moins contents.
Texte Q
Le retour à la réalité ne fait pas toujours rêver, mais tu peux toujours retourner dans ton monde magique dans ta créativité !
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L’aventure
Grace à cet arbre, les feuilles tombent avec grâce. Grace a cette forêt, les enfants sont émerveillés. Grace a cette fée, la forêt est très bien dirigée. Grace à l’automne, le solstice d’été s’endort. Une belle soirée, un garçon qui s’appelle Adam se balade dans une magnifique forêt. Adam a dix ans. Il a des yeux marron qui scintillent de partout. Des cheveux dorés et des vêtements déchirés. Il n’a pas de chaussure. Adam est vêtu comme ça car ses parents l’ont abandonné depuis sa naissance. Adam vole des viennoiseries dans une boulangerie. La boulangerie se situe tout à côté de la forêt. Bref, continuons l’histoire. Une fois Adam a volé discrètement une baguette dans la boulangerie. Malheureusement le boulanger l’a vu voler. Adam commence à expliquer son histoire car le boulanger l’a demandé. Il a de la peine à Adam. Il se présente à Adam “Bonjour jeune homme, je m’appelle David et toi ?” Adam a peur de répondre à un inconnu. Il se concentre et il se présente en tremblant de peur. “Bon… bonjour Da… David je m’appelle A… A… Adam.” David est pris par surprise car il tremblant de peur. Il le laisse partir en lui donnant la baguette de pain qu’il a volée. Adam court vers la forêt et il se dit “Je n’irais plus dans cette boulangerie.”
Un certain temps plus tard… Adam dort dans la forêt : il n’a pas de maison ni d’abri pour dormir. David l’aperçoit en train de s’allonger par terre. Il le porte et le ramène chez lui dans sa belle maison. David le pose sur un lit et lui met une couverture sur lui. Pendant le temps qu’il dort, il lui prépare un goûter. Tout à coup, Adam se réveille et il aperçoit qu’il n’est pas dans la forêt, il est dans une maison. Depuis dix ans il n’a pas mis ses pieds dans une maison. Adam est heureux mais il ne sait pas comment il est arrivé ici. Il panique et il se questionne “Quelqu’un m’a enlevé ou encore pire.” Après il aperçoit dans une photo un homme et une femme. Il ne reconnaît pas la femme. Par contre, le monsieur, il a déjà vu cette tête. Il réfléchit, enfin il a trouvé c’est David le boulanger. Il se dit “Pourquoi il m’a fait ça, c’est très gentil de sa part”. Davis toque à la porte et il a un grand plateau ; avec des biscuits, des bonbons, etc. Adam n’a jamais goûté quelque chose de sucré. David lui dit “Oh, regarde qui est réveillé !” Adam est un peu curieux et surpris. Soudainement, Adam court vers la sortie de la maison et aperçoit des arbres de la forêt. Il court vers la forêt et David court après lui, malheureusement, David est trop fatigué. Quand Adam arrive à la forêt, il se dit à soi-même :
La Forêt Grâce à cet arbre, je me retrouve dans la forêt. Grâce à toi, tu es mon meilleur ami, Grâce à David, il est mon héros Mais je m’échappe, car il a une moto.
Adam a un peu peur des motos car une fois une moto l’a écrasé, il a toujours sa cicatrice sur son dos. David n’a jamais retrouvé Adam et il est triste, car il voulait lui sauver la vie. Adam est content de sa vie. C’est officiel qu’Adam habite dans la forêt et que David ne va jamais le retrouver. Malheureusement, Adam s’est perdu dans la forêt majestueuse donc, il ne sait pas où se trouve la boulangerie. En plus, Adam s’est fait de nouveaux amis : un renard, un ours et un canard !
L’automne Grâce à l’automne, les feuilles rougissent, Nous nous rafraichissons avec ce vent qui coulisse. Les feuilles tombent lentement, Et les oiseaux partent discrètement. Le soleil part si tard, Et la lune vient dans les brouillards. Ce cycle dure longtemps, Mais quand on ferme les yeux, il part rapidement.
Texte R
Parfois, la compagnie des animaux est plus rassurante que celle des humains, et je suis sûre que toi et ton personnage allez trouver votre place parfaite dans le monde !
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Sauvetage d’une forêt
Un jour, en plein milieu de la ville, un groupe d’amis décida de s’aventurer dans une forêt. Dans ce groupe, ils étaient cinq : Il y avait Emmy, Maylis, Oscar, Gustave et Anatole. Ils avaient tous le même âge : douze ans.
Quand ils entrèrent dans la forêt, ils s’émerveillèrent tous ensemble. Les feuilles des arbres étaient resplendissantes ; il y avait plein d’animaux d’espèces différentes, des fleurs multicolores et aussi des êtres magiques qui protègent la nature. Les cinq amis étaient tellement époustouflés par la beauté de cet endroit qu’ils y restèrent toute la journée. Leurs parents s’inquiétèrent beaucoup et ils appelèrent la police. Grâce à la géolocalisation de leur téléphone, la police trouva les enfants dans la forêt. Les policiers les ramenèrent chez eux. Deux jours plus tard, le commissaire appela une entreprise spécialisée dans la déforestation pour détruire la forêt. Le cruel chef de la police voulait y faire construire un très gros commissariat pour gagner plus d’argent.
Le parton de l’entreprise décida d’écrire dans les journaux la demande de la police pour faire de la publicité. Quand Emmy lut la nouvelle, elle la communiqua à tout le groupe d’amis. Les cinq copains coururent jusqu’à la forêt. Ils virent les camions de l’entreprise entrer dans le bois. Choqués, ils rattrapèrent les ouvriers et tout le groupe se mit à réciter un poème :
«Grâce à cet arbre Qui répand ses graines, Il y a toute une forêt d’arbres Qui sont principalement des chênes.» Quand les ouvriers entendirent ces mots, ils se mirent à pleurer et démissionnèrent. Et tout est bien qui finit bien !
Texte S
Tout est bien qui finit bien ! j’adore ta morale, tu écris comme si ton texte était une fable en prose, c’est génial !
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Une rivière en or
Un beau jour d’automne, je décidai d’aller en randonnée, dans la forêt. En effet, j’adore marcher. Surtout l’automne. Cette saison est magnifique. C’est la saison des champignons, des feuilles rouges. J’adore ramasser les feuilles rouges. Hélas, c’est le retour du froid. La pluie revient parmi nous !
Finalement, avant les vacances, je décidai d’inviter ma famille. Enfin, une partie ! L’idéal, c’était ma sœur, Pauline, et mon beau-frère, Guy. Le couple avait comme passion la marche. Chaque année, ils m’emmenaient faire des marches. Nous avions pris cette habitude. A Pâques et à la toussaint, ils m’emmenaient dans une région différente. Il y a eu le Nord, la Corse, la Savoie… Maintenant venait le tour du Centre ! C’était dans une grande forêt ! Il paraît qu’il y a plein de champignons.
Le matin du premier jour des vacances, ils arrivèrent. Ils m’ont emmené à la gare de Lyon. Nous avons pris le train en direction d’Orléans. Le trajet durait environ une heure. Dans le train, nous avons programmé une marche de 4 jours. En arrivant, nous avons pris un bus. Il nous a conduit en forêt. Moi, j’étais très impatient, alors nous avons joué à «ni oui ni non». Puis nous sommes arrivés. Après avoir acheté un bon sandwich, nous nous sommes mis en marche. Plusieurs feuilles étaient tombées. Toutes étaient rouges. Nous en ramassâmes une chacun. Après une heure de marche, nous avons vu des champignons. Nous les avons donc cueillis. Ensuite, une bogue est tombée sur ma tête. Surpris, j’ai crié. Alors Guy a retiré la bogue, l’a ouverte et c’était une châtaigne. Nous l’avons gardée pour le diner. Sur le chemin, nous ramassâmes des centaines de bogues. Puis il se mit à pleuvoir. Nous n’avions pas prévu de parapluie. Alors, on trouva un abri. Mais un vieil homme barbu nous barra la porte et nous dit : « Répondez juste à ma question-poème et vous pourrez passer.
Grâce à cet arbre, je vis A l’automne, je rougis Je tombe sur un grand tapis Et à l’hiver je péris. Qui suis-je ? » Rapidement, je répondis : une feuille ! Le vieillard nous dit alors : « Vous pouvez entrer. Il se trouve trois énigmes dans ma forêt, et une rivière en or ! Hi hi hi ! » Et il donna à Pauline une carte et partit. On regarda la carte. Une route était repassée en rouge. On voyait les deux autres vieillards dans la forêt. La rivière en or se trouvait à 100 kilomètres de nous. Nous nous sommes donc remis en route.
Nous avons bien suivi le sentier. Il était tout boueux. Nos bottes étaient trempées. Alors Pauline mit de la musique. Cela nous redonna courage. Nous allions très vite. On prenait quand même le temps de ramasser bogues et champignons. Le soir, nous avions progressé d’une grosse trentaine de kilomètres. Nous avons installé notre tente dans un champ. On mangea quelques champignons et bogues que nous avions récolté dans la journée. Puis nous avons sorti un livre. J’avais ramené Les Cahiers d’Esther. J’avais emprunté la bande dessinée au CDI du collège. Mais nous avons éteint très vite. Il fallait être en forme pour le lendemain !
Le lendemain, Guy m’a réveillé à cinq heures. J’étais cassé en deux. On a plié bagage et une heure plus tard, nous étions partis. Il faisait encore nuit noire. Nous avions nos lampes torches. Très rapidement, nous avons rencontré un autre vieillard qui cueillait des champignons. Il arrêta alors son activité.
Il nous posa donc son énigme. « Je suis l’eau. Grace à l’automne, je tombe. Je mouille et fabrique des champignons. J’ai la tête dans les nuages. Qui suis-je ? » La pluie !, dit Pauline. Très bien, dit le vieillard. Vous pouvez passer. Alors nous sommes passés. Pauline nous dit : « D’accord les amis, nous avons résolu deux énigmes. Il nous en reste une. Le prochain vieillard est à une quarantaine de kilomètres d’ici. Mettons-nous en route ! »
Sur la route, il y avait beaucoup de champignons. La plupart étaient cachés sous un grand tapis de feuilles rouges. Il n’y avait plus de bogues. En revanche, Il y avait des feuilles rouges. Des écureuils récoltaient des noisettes. Le paysage était plutôt plaisant. Cela faisait déjà plusieurs heures que nous marchions. J’étais très fatigué. On s’arrêta au bord d’un ruisseau pour manger. Nous avons mangé énormément de champignons. Nous étions rassasiés.
Alors nous sommes allés très vite sur le sentier. Nous avons arrêté de cueillir. Nous courions presque sur le sentier. Il ne pleuvait plus. La soirée est vite tombée. Nous nous sommes arrêtés sur une clairière. On mangea sur une petite table extérieure. D’autres randonneurs étaient là. Il y avait un enfant. Il se nommait Michel, avait 8 ans. Nous avons joué au football. Nous avons mangé ensemble. On se partageait les bogues, les champignons et la viande. Rapidement nous sommes retournés nous coucher.
Le lendemain, nous avons regardé la carte. Il nous restait une dizaine de kilomètres avant la rivière. Très rapidement, nous tombâmes nez à nez avec le troisième vieillard. Ce dernier était très souriant. Il nous posa la question suivante : « La Terre est ma maison. Je ne vis qu’en automne, grâce au soleil et à l’eau. Comestible ou bien vénéneux, cru ou cuit. Je suis plein de vitamines. Qui suis-je ? », nous demanda le vieillard. Guy s’écria : Le champignon ! Le vieillard nous laissa passer et nous présenta le perrolion. Le perrolion est un personnage qui a des pattes de perroquet, un corps de lion, une tête de lion et il parle ! Il nous mena à la rivière d’or et nous tendit un sac d’or ! Le soir même, nous rentrâmes à Paris. Nous avons transformé l’or en liquide et fondâmes des fondations pour les sans-abris. Les fondations s’appelaient Pauline Joly et Guy Joly et elles étaient jumelles ! Et voilà, tout est bien qui finit bien !
Texte T
Je ne sais pas si tu tiens un journal intime, je suis sûre que tu y trouverais ton bonheur, écrire sur ce qu’on vit, ce qu’on imagine, ce dont on rêve fait beaucoup de bien quand on pense beaucoup !
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Ils étaient quatre
Je vais vous raconter une histoire… Une histoire qui se passe dans la forêt. Une aventure qui débute par un petit concours… Il était une fois, dans une classe de 6e, trois enfants : Jean, Michel et Bertrand s’étaient inscrits au concours du meilleur poème. Plus le jour du concours approchait, plus ils étaient stressés. Enfin, le jour du concours arriva… Arrivés devant le jury, ils se présentèrent, et commencèrent leur poème. Jean commença : Grâce à cet arbre, Les feuilles mortes renaissent, Et les forêts “fleurissent”, Les écureuils tous joyeux, s’amusent dans les arbres C’est en voyant cet arbre que j’ai grandi… Tout d’un coup, Jean ne se souvenait plus de son texte. Heureusement, Michel connaissait un bout de son texte, il reprit :
… Et c’est cet arbre qui me donnait du courage à chaque fois et c’est cet arbre que j’aime le plus. C’est un grand chêne Majestueux et royal Un grand chêne, Roi de la forêt royale… Puis Bertrand termina le poème : Grâce à cet arbre, Les feuilles mortes renaissent, Et les forêts “fleurissent”, Les écureuils tout joyeux, Jouent dans cet arbre à la queue leu leu.
Après que tous les candidats furent passés, les jurys annoncèrent les résultats.
“Et les gagnants sont…, s’écria le principal jury, Jean, Michel, et Bertrand !” Ils gagnèrent chacun un ticket pour une visite dans la forêt et une sucette. Le jour de la visite, Bertrand n’était pas présent. Le guide, Jean et Michel attendirent pendant 20 bonnes minutes, mais Bertrand ne venait toujours pas, alors ils concluent qu’il ne viendra pas, et commencèrent la visite. À l’autre entrée de la forêt, Bertrand attendait ses camarades. Mais au bout de 20 minutes, il se décida à rentrer seul dans cette immense forêt. Et c’est lui que nous allons suivre…
Bertrand marcha, marcha jusqu’à ce que trois chemins s'offrent à lui. Bertrand ne s’avait pas lequel choisir, il voulut faire demi-tour, mais ses pieds n'obéissent pas. Bertrand était sur le point de pleurer quand il entendit un bruit : “ssssssss”, le bruit s'arrêtait un moment, puis recommençait : “ssss…ssss”. Bertrand baissa la tête en direction du bruit, et vit sur sa jambe un éNORMe serpent. Celui-ci transperça la jambe de Bertrand. Bertrand ressentit une terrible douleur. Il poussa un cri perçant et tomba sur le lit de feuilles mortes. Pendant ce temps-là, le guide, Jean et Michel étaient tranquillement en train de regarder de jolis champignons, quand ils entendirent un cri.
Un cri perçant. Un cri de douleur. Jean s’exclama : -C’est Bertrand ! Ils coururent en direction du cri, qui résonnait encore et découvrirent au bout du chemin, le corps de Bertrand inanimé. Ils emmenèrent le corps de Bertrand au bord d’une falaise et se mirent à creuser pour faire une belle tombe à ce pauvre Bertrand.Mais en creusant, la falaise se détruit et ils tombèrent à l’eau. Dans l’eau, Jean vit Michel se faire dévorer par des monstres de mers, un monstre se rapprochait de lui, il avait la nausée, il avait terriblement mal au coude, le monstre n’était plus qu’à dix centimètres de lui, quand il entendit la douce voix de sa mère… Jean se réveilla. Il avait fait un cauchemar. Il était tombé de son lit (ce qui expliqua la douleur de son coude). Tout en se frottant le coude, il se prépara. Aujourd’hui, c’était le VRAI jour de la visite. Arrivé devant la forêt, il ne demanda pas à attendre Bertrand un peu plus longtemps. Il essaya de retracer le chemin qu’il avait fait dans son rêve, quand…
Ahhh ! Trop tard… L’horreur s’était produite. Il vit la même vision que dans son rêve. Michel et le guide voulaient lui faire une tombe au bord de la falaise. Jean criait qu’il refusait. Jean vit la falaise se casser. Il vit le guide et Michel tombaient de la falaise. Un petit concours avait causé la mort de trois personnes innocentes. Jean s'assit par terre. Il regarda la mer devenue rouge sang. Et c’est à ce moment-là qu'il vit une trappe sous la mer…
Texte U
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Au début de l’Automne, des élèves de 6e partirent dans les bois pour une sortie scolaire. Dans la classe, il y avait trois meilleurs amis, Lisa, Mick et Lucas. Quand ils arrivèrent dans les bois, les animateurs leur demandèrent de faire des équipes de trois. Les trois meilleurs amis se mirent ensemble.
« Trois, deux, un, GO ! », dit l’animateur pour annoncer le départ de la course d’orientation. « Vite, allons chercher le premier indice ! », dit Lucas. « J’adore les bois en Automne », s’exclama Lisa. Mick dit : « Moi aussi, j’aime beaucoup les bois mais ce que j’aime surtout c’est que « Grâce à ces arbres, il y a de l’oxygène pour respirer, De beaux arbres pour s’abriter, De tout en haut on entend les oiseaux chanter, Et tous les écureuils bouger. De l’équinoxe au solstice, les jours rétrécissent, Les feuilles tombent petit à petit et il n’y a plus de champs de maïs. » Waouh ! Mick, tu viens d’inventer une poésie en deux minutes», s’exclama Lisa. «Maintenant passons pour de vrai à la course», dirent-ils en cœur. Leur prochain indice était à l’autre bout du bois mais ils se perdirent. Lisa dit : «Oh non, nous sommes perdus et la nuit commence à tomber. J’ai peur !» «N’aie pas peur», dit Mick, «On est avec toi.». «Oui» répondit, Lucas.
Mais tout à coup, ils entendirent un bruit étrange puis un ours surgit d’un buisson. Ils crièrent, ils coururent mais ils savaient que l’ours allait les rattraper. Miraculeusement, ils virent un trou de leur taille et ils sautèrent dedans sans hésiter. Mais dans le trou, une bande d’hommes les ligotèrent sur un poteau et les interrogèrent. « Où est notre trésor ? », demanda un des hommes. « Mais on n’a rien fait ! », lui répondit Mick, « Laissez-nous partir ! » « Vous nous avez volé notre gros trésor et vous n’allez pas partir avant de nous l’avoir rendu ! ». D’un coup, ils entendirent un autre bruit. C’était un animateur qui avait retrouvé leurs traces. Il était champion de karaté dans sa jeunesse. Il mit à terre les deux hommes et sauva les enfants. Les enfants étaient soulagés d’être avec leur animateur, ils avaient eu si peur. Mais au moins, cela ferait une bonne aventure à raconter !
Texte V
J’adore l'écriture, car elle permet d’ajouter plein de détails excitants à nos propres vies ! continue d’inventer, c’est une très bonne chose pour ta créativité !
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« Comme par hasard »
À la journée d’intégration du vendredi quinze septembre, nous avions fait de l’accrobranche et une chasse au trésor. Les animateurs nous ont expliqué comment faire. Ensuite ils nous ont séparés en quatre groupes de cinq enfants. Bizarrement ils m’ont mis dans le pire groupe du monde, comme à chaque fois. Après cela, cinq minutes de passées, on m’a abandonné comme par hasard. De toute façon je le savais. Et juste après cela, j’ai fait le parcours tout seul. À un moment « comme par hasard », j’ai vu le meilleur groupe, alors je leur ai demandé si je pouvais intégrer leur équipe. Et ils m’ont dit oui. À ce moment-là je me suis dit si c’était Dieu qui m’avait béni « comme par hasard ».
Dans ce groupe, il y avait trois de mes amis : Il y avait Alexander, Roman et Alban.
Juste après, ils m’ont abandonné avec Alexander « comme par hasard ». Sauf qu’ils nous ont abandonnés à onze kilomètres de notre campement. A cet instant précis, il y avait un homme extrêmement bizarre « comme par hasard ». Et il faisait que commencer ses phrases par « Grâce à cet arbre ». Alors, décidé de le voir (j’avais 25% de m’en sortir et les 75% d’être enlevé), il m’a dit si je connaissais un poème qui commençait par «Grâce à cet arbre » et je lui répondis, oui. Puis il a dit de le réciter et j’ai dit oui, car il me l’avait proposé que je le fasse.
Grâce à cet arbre Grâce à cet arbre tout le pays des arbres vivait C’est ici qu’il y a le plus de marrons Donc on peut y faire un bouillon À l’automne on commence déjà à porter des bonnets
Après cela, je lui dis s’il pouvait nous ramener chez nous et puis il nous a dit oui. En un claquement de doigt il nous avait téléporté. Après être retourné chez nous, je me suis posé une question à propos de « Grâce à cet arbre » car ce poème, on devait le réciter le jour de l’équinoxe d’automne. Bref le but c’est que je suis chez moi. C’est ce qui compte.
Narrateur : Après cette journée inouïe, de Théodore, il ne s’endort même pas, normalement la téléportation sa fatigue tout de même. Bref de toute façon, cette histoire, c’est du n’importe quoi depuis que cet enfant écrit des récits. Allez à la prochaine !
Texte W
J'aime le côté direct de ton écriture ! tu as beaucoup de potentiel drôle, n’aie pas peur d’y aller à fond !
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Le trésor de la forêt
Pour les vacances d’automne, je suis parti camper avec quelques amis. Le soir nous avons installé les tentes puis nous avons fabriqué un feu avec du bois et une boîte d’allumettes. Nous avons mangé des sandwiches que nous avions préparé à l’avance. Ensuite nous sommes partis dormir. La nuit s’est bien passée pour moi, malgré quelques piqûres de moustiques. Le lendemain, nous avons décidé d’aller explorer la forêt ! Nous avons beaucoup marché dans le but de découvrir de nouvelles choses. Nous avons marché encore et encore. Et par miracle nous avons trouvé une grotte.
Il commençait à se faire tard donc nous avons décidé de revenir le lendemain. On a bien dormi et, le matin, nous avons couru pour vite voir ce qu’il y avait dans cette mystérieuse caverne. Quand nous sommes arrivés, elle était toujours là, mais quelqu’un semblait être le garde de cet endroit ou quelque chose comme ça. Bref, nous sommes allés voir et là, cette étrange personne nous a dit qu’il fallait réciter un beau poème d’une strophe sur l’automne pour passer. Mon ami Albert se mit à prononcer :
Grâce à cet arbre magnifique,Ma longue vie est fantastique.L’équinoxe arrive, l’été est fini ;Les feuilles de cet arbre tomberont à l’infini.Il a adoré le poème, nous sommes entrés. Il y avait de l’or, beaucoup même. Nous en avons pris un peu, puis nous avons regagné le campement. C’était notre dernière nuit. Le lendemain, nous sommes retournés prendre de l’or, puis nous sommes rentrés chez nous. Nous avons vendu l’or qu’on avait trouvé et nous avons gagné beaucoup d’argent. Après ça les vacances étaient finies.
Texte X
Si seulement la vie pouvait être aussi trépidante que les histoires ! … mais, peut-être qu’elle l’est déjà ?
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Une aventure pas comme les autres
Grâce à cet arbre, je peux couper du bois pour construire ma maison, puisque nous sommes des elfes de la pleine lune. En effet, nous avons été punis, mais avant, nous n’étions pas comme ainsi. Nous étions très beaux, forts et étions des humains qui chassaient tout ce que nous rencontrions.
Un jour, une fée des bois nous a jeté un horrible sortilège. C’était le début de l’automne, les feuilles multicolores tombaient sur nos jambes. A cet instant, cette Fée des bois disparut. Une nuit, entendant des pas, je vis une jeune femme merveilleuse qui chantait. Quand je voulus lui parler, elle eut peur de moi. Puis elle courut et s’enfuit. Le jour suivant, elle voulut me parler en me demandant d’abord comment je m’appelais. Je lui demandai aussi le sien tout en discutant pendant un certain temps. A ce moment, je lui demandai sa main, puis je me transformai en un être humain. Alors, elle me cria : «Oui, je te veux ! ».
Lors de pleines lunes d’hiver, à ma grande surprise, nos enfants sont nés. Ainsi, il fut très content et nous allâmes dans la forêt afin de revoir là où nous nous étions rencontrés. Finalement, je revis la fée laquelle me dit adieu en me souhaitant une vie agréable. Lorsque nous revenons au village à chaque saison d’automne, je me souviens de ce rêve magnifique.
Grâce à cet arbre Je peux faire des dessins de toutes les couleurs, rouge, jaune tant des couleurs je peux faire même un arc-en-ciel. Avec mes amies, je cours ici et je dis « Ô moi, ô vie ! » et là j’entends quelqu’un qui dit : viens ici. Là je vois le merveilleux arbre d’Automne et je saute sur la boue et je me divertis Je ris et vois les arbres qui dansent.
Texte Y
Quelle poésie ! moi aussi je veux rencontrer une fée des bois !
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La forêt de la tortue géante
Je m'appelle Aimée et je suis une fée-aventurière. Ma spécialité, c'est les lieux magiques. Nos dernières aventures se sont révélées être une carte aux trésors ! Nous sommes sur le point de découvrir le lac enchanté (le trésor) ! Je dis "nous" mais je ne vous ai pas parlé de mes compagnons :
- Alfred est un géant, il a la force de déplacer des montagnes ! (Il mange sans cesse et a aussi horreur des lutins !). - Nina est une sirène. Sa voix peut ensorceler les marins mais aussi...détruire des rochers ! (et c'est ma meilleure amie !). - Marc est un elfe et il manie l'arc comme un dieu ! C'est mon tout premier compagnon. - Et enfin moi, Aimée, fée au pouvoir de guérison ! (d'autres pouvoirs aussi, ne vous inquiétez pas !).
Nous partons à l'aventure tous les quatre, enfin cinq avec Loun, mon lion blanc ! Nous montons sur notre bateau, Aventure, pour aller découvrir le lac parlant. Alfred grogne un peu car il a faim mais à présent nous partons, il mangera plus tard ! Nous nous perdîmes souvent mais grâce aux rencontres que nous fîmes et à la carte aux trésors, nous retrouvâmes toujours notre chemin. Après deux semaines de navigation, j'entendis Nina crier "Terre !"Super on est arrivé ! Nous accostâmes sur une jolie petite île qui n'était que de forêt. Nina partit explorer le tour de l'île pour la mesurer. Marc partit côté est pour explorer la forêt. Alfred partit côté Ouest et moi je la survolai. Cinq heures plus tard, nous nous retrouvâmes pour partager nos découvertes : -"Qui commence ? ", dis-je. -"Moi si vous voulez bien", dit Nina. -"Vas-y !", dit Alfred. -"Alors, l'île mesure trois kilomètres de long et environ 50 mètres de large. Les bords de l'île ont une consistance sableuse et quand j'ai plongé pour voir la profondeur de l'île, tenez-vous bien...Ce n'est pas une île, c'est une tortue géante ! Mais à la place d'une carapace, elle possède une forêt ! Mais il semblerait que cette tortue dorme car d'habitude elle coule tous les bateaux qui s'approchent d'elle (selon les épaves que j'ai vues en dessous).
-"A moi !", dit Alfred. - "Si tu veux", dis-je. - Alors, il n'y a pas beaucoup de lumière dans cette forêt ! j'ai découvert qu’au centre de l’île il y avait une sorte de barrière infranchissable et invisible qui m'empêchait de voir ce qu'elle cachait. Sinon c'est à peu près tout. - "A mon tour !", dit Marc. - "Vas-y", dis-je. - "J'ai vu la même chose qu'Alfred mais en plus j'ai vu que l’île bougeait et qu'elle avançait si doucement qu'elle ne laissait qu'un léger sillage, seul indice de son mouvement. - "A mon tour", dis-je. En survolant l'île, j'ai vu une grosse tache noire au centre de L'île. Cela doit correspondre aux barrières dont vous parliez les garçons. J'ai aussi vu le sillage derrière l'île mais aucun bateau à l'horizon, sûrement à cause de la tortue géante.”
J'ai trouvé que nous avions fait énormément de trouvailles pour aujourd'hui. C'est déjà le soir et nous avons monté un campement au bord de la forêt avant de commencer à dîner. Ce soir-là, nous bavardâmes joyeusement autour du feu que Marc avait monté. Nous nous couchâmes tôt en pensant à la journée chargée que nous aurions peut-être demain.
Le lendemain matin nous nous levâmes presque en même temps sûrement car nous étions tous excités de la journée qui commençait. Nous décidâmes de nous diriger vers la barrière infranchissable pour découvrir ce qu'elle cache. Nous emportâmes des vivres, des tentes, du matériel de survie pour être prêts à toutes éventualités. Quand nous arrivâmes, nous avons découvert une étrange lumière bleue qui venait de l'île. Quand nous essayons de franchir la barrière, nous nous heurtâmes à un mur de pierres. Marc proposa que nous creusâmes un trou dans cette barrière pour pouvoir rentrer. Quand nous essayâmes, nos échouâmes lamentablement. Alors Alfred dit : "nous pouvons essayer de l'escalader. Même moi le géant, je ne vois pas son sommet, alors j'espère que vous avez une grande forme". Nous essayons de grimper mais la barrière était lisse comme une pierre polie. Nous ne pouvions rien faire. C'est alors, que j'eus un éclair de génie.
"Et si on creusait dans le sol pour ensuite remonter, nous serons ainsi passés sous la barrière !". Nous nous mîmes au travail. Nous creusâmes, creusâmes, puis nous remontâmes à la surface pour voir si nous avions réussi et victoire ! Tout à coup, j'entendis Nina dire : "Tout s'explique !". Je me retournai et surprise ! Un bébé de tortue géante était au milieu ! Tout à coup, sous nos pieds, la terre se mit à trembler. Et nous entendîmes une voix nous dire : "Petits êtres, vous avez découvert ma forêt et mon enfant. Je ne vous libérerai que si vous résolvez mon énigme, sinon vous resterez prisonnier à jamais !"
Grâce à cet arbre gris, je ris de fantaisie des anges coquins, nous sommes du soir au matin. Qui suis-je ? « C'est vraiment très dur ! Nous n'avons aucune idée de ce qui est coquin du soir au matin et qui grâce à un arbre gris, rit de fantaisie ? Cette énigme est vraiment étrange ». Je m'interromps dans mes réflexions car tout à coup j'entends Alfred ronchonner. Il marmonne : "Non mais franchement, vous ne pouviez pas faire une énigme sur les géants, non ? Évidemment, il fallait que ce soit sur les lutins !" La tortue est visiblement très surprise ! "Vous avez trouvé, bravo !
C'est effectivement les lutins qui vivent dans un arbre gris et qui rient de fantaisie, qui sont des anges coquins du soir au matin ! Félicitations, vous gagnez le droit de partir !" Nous sommes vraiment fous de joie. Si Alfred n'avait pas été un géant, nous l'aurions porté toute la journée ! Mais Alfred lui n'était pas joyeux, il était encore en train de bouder, non seulement parce que l'énigme parlait des lutins, mais aussi parce qu'il avait faim !
Texte Z
Tu as une imagination débordante ! j’adore ton texte ! continue de créer, tu as une vraie part de magie en toi !
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La forêt mystérieuse
C’était un jour d’automne, c’était les vacances de la Toussaint, j’étais en 6e, j’étais chez moi quand tout à coup, dans la forêt en face de ma maison, j’entendis un chant, un chant vraiment merveilleux. Je m’étais donc rendu vers cette forêt pour voir qui émettait ce magnifique son. Je suis arrivé et j’étais très stressé, mais comme j’étais avec des amis, j’étais tout de suite moins stressé.
Quand tout à coup, j’étais rentré dans cette forêt, le bruit cessa. J’étais assez surpris, mais j’avais quand même envie de voir ce qui se passait dans la forêt mystérieuse. Puis arrivé au centre de la forêt, j’ai vu une ombre non loin de là et d’un coup elle avait disparu. C’était le jour où j’avais passé trois heures dans la salle de classe avec le professeur principal.
Pendant que j’étais en train d’avancer et de retrouver cette ombre, les feuilles tombaient par dizaines et il commençait à faire un peu frisquet. J’étais venu en tee-shirt et en jean troué, sauf que je n’avais pas le droit. Après plusieurs minutes à marcher, je vais enfin retrouver l’ombre. Cette fois, elle ne disparut pas, elle était plutôt venue me voir.
L’ombre me dit alors « Viens me voir, n’aie pas peur ! ». Je suis allé vers elle et elle m’emmena dans un arbre et me dit «Je suis l’ange de la forêt et tu vas découvrir le paradis !». Dans cet arbre, se trouvaient deux couvertures. Une fois, les deux couvertures soulevées, j’ai découvert le paradis et l’ange de la forêt a fait flotter une auréole au-dessus de ma tête. C’était le mercredi, le jour où on finit les cours à douze heures quarante-cinq. C’était trop bien.
Grâce à cet arbre, Grâce à cet arbre, j’ai découvert le beau paradis. Je sais à présent escalader les arbres. Génial ! Je me suis plus connecté à la nature. Je sais à présent comment fonctionnent les arbres grâce à cet arbre.
Texte ZA
Tu as raison, parfois, on trouve de la lumière sous les ombres ! j’espère que tu as trouvé ton paradis à toi !
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Les elfes de la forêt
Nous sommes avec ma classe à l’acrobranche. Nous sommes avec un groupe d’amis sur un certain parcours. Quand soudain, je ne vois plus personne. Quand le tour vient à moi de me lancer sur un fil une fois arrivé au bout du fil plus personne n’est là. Je pense qu’ils veulent juste rigoler mais personne. C’est le vide, plus aucun de mes amis est sur ce parcours en forêt, sous l’automne. Je ne veux pas en parler au professeur, je veux résoudre cette affaire tout seul. Je pars ensuite voir deux camarades et on mange ensemble afin d’en parler.
Après nous être tout raconté, avec mes deux amis, nous nous mettons en chemin. Lorsque soudain nous nous téléportons sans le vouloir. A-t-on marché sur quelque chose ? Bref on tombe en plein milieu d’un lieu splendide. Soudain de soldats nous prennent et nous emmènent au pied d’un roi à longues oreilles (sûrement un elfe).
On se demande si on rêve ou pas ou si on est vraiment en face d’un elfe. Soudain, il s’apprête à dire un mot : «Qui êtes-vous, comment êtes-vous arrivés ici ? C’est grâce à cet arbre qui était d’un marron très clair et il contenait des feuilles rouge sang vous auriez dû être là. Assez parlé ! Pourquoi êtes-vous ici ? En fait, on était en train de chercher des amis qui ont disparu. Nous avons vos amis mais si tu veux les revoir ne parle à personne de cet arbre ou de ce royaume. Vous avez ma parole et sachez que je n’en ai qu’une seule. Bien sûr, c’est que je veux avant tout vous faire visiter mon royaume puisque vous n’en parlerez à personne. GAAAARDES ! Faites-leur visiter notre royaume ».
Nous avons fait le tour du royaume, en fait ce n’était pas si mal que ça. A la fin nous avons retrouvé le grand elfe et il nous a escorté jusqu’à nos amis qui étaient en train de faire un plan d’évasion pour sortir. «-Oh vous êtes là ! Quel soulagement de vous voir. On était en train de faire un plan d’évasion, vite venez ! Mais ce n’est pas la peine le roi nous a accordé votre liberté et on part quand vous voulez ». A la fin de cette grosse journée, nous sommes retournés faire un parcours et personne ne s’était doute de rien. Tout est bien qui finit bien.
Texte ZB
Quelle aventure ! J'aime que ton texte ne dise pas si c’est une histoire vraie… peut-être que tu as rencontré les elfes !
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Une aventure en forêt paisible (ou presque)
Un matin, trois amis, prénommés Jack, Max et Léo, décidèrent de partir en forêt. Ils se rassemblent autour d’une petite cabane où ils avaient l’habitude de se réunir tous les trois. «Vous êtes prêts ? » dit Jack. «Oui !» dit Max. « Oui, c’est parti », dit Léo tout excité. Ils partirent dans la forêt, mais puisqu’ils avaient déjà tout exploré dans cette partie, Max dit : « Puisque nous connaissons déjà tout dans ce coin, nous pourrions cette fois-ci aller vers le coin plus reculé. » -« Mais il paraît que plusieurs personnes ne sont jamais revenues de cette partie de la forêt », dit Léo un peu effrayé à cette idée. « Moi, aucun problème ! », dit Jack. Ils partirent donc tous dans cette direction, s’enfonçant beaucoup plus loin que d’habitude.
Arrivés à destination, ils tombent devant un très grand arbre à la forme très reconnaissable. « Si on se perd de vue, rendez-vous au pied de ce grand arbre au plus tard dans une heure les amis, d’accord ? » dit Max. ‘’Ok’’ répondirent les deux autres. Ils commencèrent à s’éloigner de l’arbre, et très vite chacun pris une direction différente. Selon la consigne, une heure plus tard, les amis se retrouvèrent devant l’arbre, enfin deux amis seulement car Jack et Max s’aperçurent que Léo, lui, n’était pas revenu. Les deux camarades inquiets décidèrent de partir à sa recherche. Sur le chemin, soudain, un bruit les attira. Un petit ourson coincé dans une racine d’arbre, appelait au secours. Les deux amis libérèrent le petit animal effrayé. Ils décidèrent de l’amener avec eux.
Quelques minutes plus tard, le silence de la forêt fût brisé par un cri. « Jack, Max, venez de suite, au secours ! »… Puis plus un bruit. Mais un peu plus loin devant eux ils pouvaient assister à une scène épouvantable : Une femelle ours, folle de rage tournait en rond autour d’un chêne en regardant en haut. Léo, s’accrochait de toutes ses dernières forces à une branche épaisse. L’ourse avait apparemment très faim… Très rapidement, Max eut une excellente idée pour distraire la bête et sauver son ami ‘’perché’’. Il montra l’ourson à sa mère et courut rapidement vers une clairière où il le laissa. L’ourse se mit à courir et retrouva son petit ; elle enlaça son bébé avec son corps massif en se blottissant contre lui avec tendresse. Pendant, ce temps, Léo descendit de l’arbre et les trois amis à nouveau réunis coururent vers leur village. Léo, bouleversé, rentra et pensa fort à l’arbre qui l’a sauvé :
« Grâce à cet arbre j’ai été sauvé, Ses branches m’ont offert une vie préservée, C’était un espoir dans un moment tourmenté Un nouveau départ, ce jour d’été enchanté ». Ce soir-là, les trois amis, racontèrent leur dangereuse péripétie au grand-père de Max qui fût, il y a longtemps, le garde forestier. Il était fier de son petit-fils et lui dit : « Max, mon école buissonnière t’a bien servi ! ». Les trois amis sourirent et s’endormirent en paix devant le bruit des bûches crépitant dans la cheminée…
Texte ZC
Quel suspens ! tu as le sens du récit ! tu tiens en haleine ton lecteur !
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Grande célébrité
Cette histoire se passe dans le monde des mi-elfes, mi-humains. Dans ce monde, il y a de grandes prairies, une magnifique forêt et un château où habitait une princesse. Elle voulait chercher une fleur appelée «la princesse de la sérénité». Alors la princesse, suivie par son chevalier, est partie en direction de la forêt. Une fois arrivés dans la forêt, quelque chose avait changé, tout était calme, plus d’animaux, plus de vent. La princesse et son chevalier avancèrent malgré leur stupeur. La princesse fut soulagée car devant ses yeux se trouvaient de belles «princesses de sérénité». Mais la princesse et le chevalier virent juste à côté une épée plantée dans une grosse plateforme de pierre. L’épée brillait énormément, mais la princesse ne savait pas pourquoi cette épée brillait autant.
Soudain, un bruit retentit plus loin dans la forêt. Le chevalier alla voir immédiatement ce que cela pouvait être. Il découvrit une petite créature en forme de feuille recroquevillée juste à côté d’un arbre. Mais cet arbre n’était pas un arbre comme les autres car il était gigantesque. Alors, la princesse chercha dans son manuel si cet arbre avait quelque chose de particulier. La princesse sursauta quand elle lut : «Cet arbre est le gardien de la forêt qui existe depuis trois milliards d’années. Et cet arbre parle avec grande gentillesse avec tous ceux qui le traitent avec bienveillance. » Quelques instants plus tard, l’arbre dit : «Bonjour chers visiteurs, comme vous le voyez cette épée brille, mais pas parce qu’elle est propre. Elle brille parce qu’elle veut dire quelque chose. La personne qui arrivera à l’enlever pourra affronter son passé». La princesse surprise dit : «Bonjour, merci pour votre accueil amical».
Un buisson bougea à côté et une bande de monstres surgit de la pénombre tout à coup. Le chevalier courageusement alla affronter la bande de monstres qui les encerclait. Le chevalier attaquait en vain, car les monstres réapparaissaient encore et encore. Alors le chevalier rassembla toutes ses forces et retira l’épée qui était enfoncée dans la plateforme de pierre. Il réussit à combattre tous les monstres. L’arbre ébloui lui dit « Toi qui n’abandonnes jamais et qui manies l’épée comme son bras, je te confie cette merveille. Utilise-la avec bravoure. Sauve notre peuple ». Le chevalier respecta toutes ces paroles et avec la princesse s’en allèrent en remerciant le grand arbre. Quand la princesse et le chevalier partirent l’arbre chantonna un petit air :
«Grâce à cet arbre, l’été s’envole comme une cigogne Dirigée par la chaleur de cette épreuve. Solstice, équinoxe passée, les saisons viendront Les écureuils ramassent des châtaignes et noisettes Dans leurs yeux se reflète Un océan de mes feuilles qui rougit le monde Le soleil joue à cache-cache Derrière ces beaux nuages Grâce à l’automne je prends de l’âge» La princesse et le chevalier entendirent ce merveilleux poème et écrivirent un livre de cette superbe aventure qu’ils allèrent publier. Et en quelque temps le grand arbre de la forêt fut très connu. Ainsi que ce livre que je vous ai lu.
Texte ZD
On se croirait dans les légendes du roi Arthur et des chevaliers de la table ronde ! je suis sûre que tu trouveras des aventures qui m'enchanteront dans ces histoires !
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La petite fille et le mystérieux chêne qui parlait !
Il était une fois, une petite fille qui partait se promener dans les bois avec ses parents. Elle était émerveillée par toute la beauté de la nature. En chemin, elle ramassa des champignons et de petites fleurs; tout en chantonnant gaiement ! Cette petite fille s’appelait Juliette, elle avait dix ans. C’était la première fois que ses parents l’emmenaient dans une aussi belle forêt. Sur son chemin, elle aperçut au loin, un petit arbre tout mort. Elle ne voulait pas voir cette triste image…Alors, elle décida de poursuivre sa route en l’ignorant. Soudain, un grand et merveilleux chêne se dressait devant elle ! Elle fut tellement en admiration devant lui, qu’elle oublia la peine qu’elle avait eu pour ce pauvre petit arbre. Ensuite, elle entendit ses parents l’appeler. Elle comprit qu’elle s’éloignait…Mais elle était bien décidée à revenir voir ce chêne très rapidement ! Elle fit donc demi-tour pour rejoindre ses parents. Ils n’étaient pas très contents que leur fille se soit trop éloignée, mais ce fut vite oublié et ils rentrèrent chez eux.
Le lendemain matin, comme prévu, Juliette décida de retourner voir ce mystérieux chêne. Elle prit son petit déjeuner en quatrième vitesse, se prépara puis partie dans la forêt. Une fois dans les bois, elle essaya de reprendre le même chemin que la veille. Arrivée devant le chêne, elle se mit à dire : «Grâce à cet arbre, je me suis réjouie, -Le solstice d’été le rend encore plus beau.-Cet arbre est tellement joli, -Que je n’ai plus les mots !» La petite fille se mit à danser sur elle-même, jusqu’à ce qu’une voix lui dise : «Tu danses bien !»
Juliette s’arrêta net et se retourna vers l’arbre. Le chêne ne bougeait pas, puis il lui dit : «Qu’est-ce qui t’arrive, tu as peur ?» La petite fille, sous le choc, répondit : «Tu…t…tu parles ? - Mais oui ! Et tu es la seule à m’entendre. » Et l’arbre se mit à pleurer. Désemparée, elle essaya de le calmer mais ses parents l’appelaient encore. Juliette les rejoignit la tête basse, elle aurait voulu rester mais elle n’avait pas le choix ! Juliette se réveilla dans la nuit. Vous devinez pourquoi ?! Mais oui : pour retourner voir l’arbre ! Dans la pénombre, elle n’y voyait strictement rien ! Mais elle était persuadée d’être au bon endroit et dit : «-Tu es là ?» Mais le silence régnait.
Elle recommença : Il y a quelqu’un ?» Toujours rien. La petite fille se sentait fatiguée et sans s’en rendre compte elle s’assoupit. A son réveil, elle était bien arrivée là où le chêne lui avait parlé. Mais…il avait disparu !
Texte ZE
Tu as une super écriture ! et quel mystère ! on voudrait avoir le fin mot de cette histoire ! bravo !!!
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Cauchemar en forêt
Un soir d’automne, à la frontière entre la France et l’Espagne, vivaient une fratrie de trois jeunes garçons. L’ainé, âgé de quinze ans, est un adolescent blasé, il passe ses journées, affalé sur le canapé.
Alors que le cadet, est un petit garçon de onze ans, extrêmement énergique et très serviable. Sa passion, c’est la forêt. Il passe ses journées à se balader dans les bois. Le petit dernier a six ans, il suit constamment son grand frère, il se promène en forêt avec lui, il le considère comme son meilleur ami, il fait tout comme lui. Un jour, alors que les deux petits frères se promenaient, ils entendirent soudainement un appel de leur ainé. Ils continuèrent en pensant que c’était leur imagination, jusqu’à ce qu’ils tombent sur une impasse. Ils étaient bloqués par des dizaines d’arbres qui s’entrelaçaient. Tout à coup, le cadet se sentit emprisonné, et perdit de vue son petit frère, il était terrifié puis se réveilla brusquement. En se réveillant de ce cauchemar, il vit son frère, contemplant la beauté des arbres en disant :
«Grâce à cet arbre, et ses feuilles couleur marbre, l’automne nous accueille, avec toutes ses feuilles, grâce à ce poème, l’automne est faite reine, tu l’attends tout le temps, elle revient tous les ans.» A ces mots, le jeune garçon s’approcha de son petit frère, lui prit la main et contempla avec lui, la beauté de l’automne.
Texte ZF
Ton écriture est très poétique ! continue !
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Une aventure en forêt
C'est l'histoire d'une famille qui allait prendre l'air en forêt par une belle journée d'automne. Bon, je tiens à préciser que c'est une famille normale, je répète normale (oui car certains lecteurs pensent que les personnages ont des pouvoirs etc... mais non ! Sinon, ça ne serait pas très simple !)
Bon bref, c'est l'histoire d'une famille normale qui allait prendre l'air en forêt. Ils étaient heureux, passaient une bonne journée... Ils étaient contents quoi ! Pendant ce temps-là, la mère regardait son téléphone (qui, je tiens à le préciser se déchargeait très vite). Pendant qu'elle regardait des vidéos de Furious Jumper, les autres contemplaient les magnifiques feuilles colorées et sentaient l'air de la forêt. Elle ne se rendait pas compte qu'elle n'avait plus qu'un seul pour cent de batterie.
Quelques heures plus tard, la famille s'aperçut qu'elle avait pris un mauvais chemin ! le père dit alors à la mère de lui donner son téléphone mais, comme vous le savez cher lecteur, elle était tellement préoccupée par les vidéos qu'elle n'avait plus de batterie ! Et, il pleuvait ! Heureusement il y avait un grand arbre qui les protégeait de cette énorme averse ! c'est alors, que le plus jeune fils entama, ce poème : "Grâce à cet arbre, nous pouvons nous abriter, Et cette énorme averse, nous pouvons éviter. Sous cet arbre nous avons presque envie de rester Cela m'aide à contempler toutes ces feuilles colorées. On dit toujours que les mères sont les plus responsables, Mais on dit peut-être ça juste, car ce sont les plus aimables." Ils arrivèrent alors à trouver des passants qui les guidèrent jusqu'à leur maison.Mais comment ces passants connaissaient-ils leur adresse ! A suivre...
Texte ZG
On se demande bien où va arriver cette histoire ! il faut apprendre à prendre le temps, tu l'as très bien écrit !
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Une aventure en forêt !
Il était une fois un arbre qui était vieux de cent ans et il habitait chez des enfants. Les enfants s’occupaient de lui tous les jours, il était en bonne santé, une fois il y avait un enfant qui avait fait un poème pour cet arbre ça commençait par : «Grâce à cet arbre J’aurai des poires, Je dormirai mieux le soir, Je ne craindrai pas le noir, Je me laverai dans ma baignoire»
C’est ainsi que l’arbre devient immortel. Les enfants aussi voulaient devenir immortels mais il fallait qu’ils trouvent comment. Le lendemain, ils avaient fait leur valise et ils partirent pour trouver comment devenir immortels. Ils marchèrent pendant des heures, des journées, des mois et enfin ils arrivèrent devant une porte qui menait dans un monde enchanté. Ils ouvrirent la porte et ils aperçurent des fées, des elfes, des trolls, des sirènes … : toutes sortes d’animaux enchantés. Ils avancèrent et là, ils virent une autre porte mais cette porte menait à un endroit maléfique, dangereux ou il y avait des monstres, ils ne voulaient pas entrer, c’était trop tard, un courant d’air glacial les poussa dans ce monde dangereux…
C’est là qu’ils atterrirent dans un tas de boue et ils virent un roi nommé Padou il était triste et il pleurait. C’est alors que les enfants coururent vers lui et ils lui racontèrent plein d’histoire qui font rire. Il n’était plus triste, il était devenu méchant mais gentil avec les enfants. C’est alors qu’ils lui demandèrent s’il savait comment devenir immortels et il répondit : «Oui !, je vais vous expliquer et vous serez à la fin de l’explication immortels.». Ils étaient tellement contents qu’ils s’endormirent aussitôt. Le roi Padou les ramena chez eux et les enfants lui dirent « Merci, on ne t’oubliera jamais !». Une nuit passa, ils se réveillèrent et pour fêter ça ils allaient voir leur arbre en plus ils étaient immortels, ils avaient tout leur temps.
Texte ZH
Que c’est beau ! tu as un réel talent pour les contes !
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Il était une fois dans un petit village de Bretagne, une famille dont les parents étaient agriculteurs. Ils étaient réputés, car ils utilisaient des produits organiques et bio : ils n’aimaient pas les produits transformés. Ils avaient deux enfants : Laura avait quinze ans et son frère Léo en avait dix-huit.
Un jour, il plut si fort que le jardin de la famille se transforma en une étendue de boue. La mère des deux enfants leur demanda : « Laura, Léo allez récupérer la vaisselle du gouter qui traine dans le jardin, et vite avant qu’elle soit trempée ! » Laura enfila son k-way et ses bottes puis elle cria « C’est bon Léo ? ». Léo arriva en courant et dit « Désolé sœurette, mais il y a la finale de la Ligue des champions donc je ne peux pas…». Laura soupira puis s’aventura dans le jardin de boue…
Elle fit une pile avec les assiettes et les verres. Mais, juste avant de rentrer, elle fit tomber une assiette. Elle soupira, posa les assiettes et les verres puis repartit chercher l’assiette. Elle la ramassa et découvrit une petite bouteille en verre qui renfermait un petit bout de papier …En rentrant, Laura montra le bout de papier à son frère qui le lut avec attention, il y était écrit : Mon ou ma chère ami(e), je suis la rousse, la plus grande pirate du pays, voici la carte qui te mènera à mon trésor, mais attention ne pars pas seul ... bien à toi la rousse.
« C’est bien court pour un discours de pirate ! », dit Léo, Laura, elle, sourit derrière Léo qui lui demande « Tu veux quoi ... Attends… tu veux qu’on parte faire cette chasse au trésor ? … » « Bah…oui, ça serait bien », répond Laura. Leur discussion prend fin, mais Laura a une idée… Le soir même, Laura partit à l’aventure et laissa un petit mot à ses parents. À peine passé la porte, elle entendit Léo qui lui chuchota : « Jamais je ne manquerai une telle aventure, je viens avec toi !» Un peu plus tard dans la soirée, les deux enfants s’endormirent au pied d’un arbre. Le lendemain ils partirent en suivant la carte « Direction la forêt Despagore ! » criaient Laura et Léo en chœur. Sur le chemin Laura chantait : « Grâce à cet arbre, la poésie me vient à l’esprit comme ses fruits et ses feuilles qui volent dans le vent ».
Après quelques heures de marche, la carte leur indiqua de se rendre dans une petite grotte, mais il n’y avait pas d’issue. « C’est censé être là », dit Léo « Je crois qu’on s’est fait arnaquer», répondit Laura. C’est alors que le sol se mit à trembler si fort qu’il se brisa. Les deux enfants tombèrent alors dans une montagne d’or ! y avait aussi des sacs pour pouvoir ramasser l’or ! rentrèrent chez eux et offrirent l’or à leurs parents.
Texte ZI
C’est génial ! tu nous emportes avec toi dans l’exploration ! bien joué !
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Aventure dans une forêt
Samedi, mes amies et moi, avions décidé de partir en forêt, après avoir passé notre première semaine au collège.Nous nous sommes baladées, quand soudain Clara avait dit cette phrase : «Grâce à cet arbre nous respirons». L’arbre qu’elle indiquait était majestueux.Ensuite nous sommes parties jouer dans le parc, quand tout à coup, arriva un magnifique écureuil. C’était la première fois que je voyais un écureuil aussi grand et aussi impressionnant.
Ensuite, en rentrant dans les bois, nous avons vu un renard qui s’approcha de plus en plus de nous. Soudain nous nous sommes rendu compte que c’était un chien ! En rentrant, j’ai réalisé que c’était une merveilleuse journée.Le lendemain je n’avais qu’une idée en tête, repartir en forêt. Les arbres étaient tellement grands, ils s’élevaient vers le ciel. Les feuilles mortes tombaient. C’était l’équinoxe d’automne, les rayons de soleil tapaient à travers ma fenêtre.
Enfin je suis descendue pour prendre mon petit déjeuner. Il n’y avait plus personne à la maison, je criais et criais partout, plus personne. J’étais dans ma maison de campagne, impossible pour moi de demander de l’aide, je ne connaissais personne, quand soudain j’ai entendu un klaxon, je me suis rendu compte que mes parents m’attendaient dans la voiture pour une autre aventure en forêt. Ma sœur et moi étions très contentes d’y aller.Après avoir passé une excellente première semaine au collège et après avoir rencontré mes nouveaux amis et professeurs, cette balade en forêt fut extraordinaire.
Grâce à cet arbre, nous respirons Grâce à cet arbre, nous vivons En automne, face à ses feuilles colorées Nous ne pouvons que nous émerveiller Devant tant de beauté. Cet arbre nous offre tant Des fruits pour les gourmands De l’oxygène pour tous les êtres vivants
Texte ZJ
Parfois, la magie se cache dans tous les petits détails de la vie ! merci pour ce texte qui le rappelle si délicatement !
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La découverte de la beauté des mots.
En arrivant dans cette forêt luxuriante, mes amis et moi, nous nous sommes exclamés, voyant la beauté du monde qui nous était offert, nous éblouit. Nous nous baladâmes quelque temps avant de vraiment nous aventurer dans cette forêt plus que magnifique, que dis-je, éblouissante. En commencent à observer la faune et la flore, nous remarquons un arbre bien trop large, nous nous approchons et remarquons que… C’était une muraille en bois, nous la franchissons aussitôt et trouvons un groupe de personnes rassemblées.
Nous les entendons réciter des petits poèmes, qu’elles inventent en cinq petites minutes, nous sommes stupéfaits par leur talent. Elles nous remarquent et nous invitent à participer. Mon meilleur ami Jack se lance et récite à l’improviste. «Grâce à cet arbre Nous pouvons chanter Faire des danses macabres Se parler, manger, en étant reculés ! Il s’est sacrifié Pour faire cette muraille Pour nous cacher Nous sommes timides mais limpides. Nous sommes aimés mais réservés Nous voulons nous évader de cette société Et tout ça est possible Grâce à cet arbre.»
Notre ami Jack a remercié toutes les personnes présentes. Elles nous ont fait promettre de ne rien dire, de garder ce moment pour nous et nous avons promis. En retournant sur nos pas, nous avons bombardé de question notre ami, comment a-t-il fait ceci ? Il répond qu’il s’est laissé emporter. Ensuite j’ai dit à mes amis que les paroles récitées dans cet endroit mystérieux m’avait fait beaucoup de bien, mes amis m’ont tous dit qu’eux aussi. Nous avons félicité notre ami Jack. En regardant l’heure, je remarquais qu’il était déjà tard, cette magnifique journée entre le solstice d’été et l’équinoxe d’automne était déjà finie…
Texte ZK
Quelle belle écriture ! ton langage est très élégant ! merci !!
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Une sortie entre amies
Aujourd’hui nous avons fait une sortie entre amies. Il y avait Louane, Lise, Daphné et Léa. Nous nous sommes rendues dans une forêt pour prendre un goûter. Arrivées sur les lieux, nous nous sommes installées sous un arbre, nous avons mangé et nous sommes parties. J’ai fait une proposition, s’aventurer dans la forêt. Oui ! dit Daphné. Pourquoi pas ? dit Lise. Allons-y ! dit Louane. C’est parti ! dit Léa. Tout le monde était d’accord. Après une bonne heure de marche, Louane et Lise ont voulu faire une pause. On peut s’arrêter ici ? dit Lise. D’accord dit Louane. Nous nous sommes assises, et nous avons commencé à dormir, sauf une, Daphné. Elle ne voulait pas dormir. A la place, elle chantait une poésie qu’elle a apprise quand elle était petite : Grâce à cet arbre Grâce à cet arbre les oiseaux peuvent se poser Se reposer et observer en toute tranquillité. Je m’assoupis petit à petit avant de dormir et de voir les feuilles rougir.
Quand nous nous sommes réveillées, nous ne retrouvons plus Daphné… J’ai bien dormi ! dit Lise. Moi aussi ! Je suis prête pour une bonne heure de marche ! dit Louane. Très bien mais avant ça … Ou est Daphné ? Nous avons couru pour la trouver. Nous l’avons trouvé en train de donner à manger à un écureuil. Vous êtes la ! dit Daphné. Tu nous as fait peur ! dit Louane. Désolée mais j’ai trouvé un truc qui va vous plaire ! Daphné nous a conduits jusqu’à un arbre. C’est juste un arbre !, dit Léa Regarde derrière !, dit Daphné. Une géante accrobranche abandonnée ! Incroyable !, dit Léa En plus, tout le matériel est en bon état !, dit Lise.
Nous avons grimpé sur un arbre et nous avons commencé à jouer. Malheureusement c’est l’équinoxe d’automne donc il a fait nuit. Les filles ! dit Louane. Quoi ? Il va faire nuit ! Il faut rentrer. Très bien ! Rassemblons nos affaires !
Nous sommes descendues de la tyrolienne mais nous ne retrouvions plus l’arbre ou nous avons posé nos affaires ! C’est la cata !, dit Léa. Mais non, remontons dans les arbres pour essayer de trouver notre arbre ! Après quelques heures à chercher il faisait nuit noire. Regardez , ! Dit Daphné. C’est l’écureuil que j’ai nourri ! Squik, squik ! On dirait qu’il veut nous parler ! Il est parti !, dit Lise. Vite suivez le !, dit Léa. Nous avons couru pour le suivre. Je vois une lumière ! C’est … c’est notre camp ! Youpi ! dit Louane. Allons manger, j’ai super faim !
Nous avons mangé de petits sandwichs quand d’un coup, un loup apparait devant nous. Ahh ! Tout le monde a crié. Montez dans l’arbre ! Vite ! Faites le plus de bruit possible ! J’ai attrapé une assiette et j’ai commencé à taper l’assiette avec une cuillère. Le loup est parti. Ouf !, dit Louane. Rentrons maintenant je suis super fatiguée ! Sur la route nous avons trouvé une rivière. Comment on va passer !, dit Daphné. On peut construire un bateau, dit Lise. Super idée ! Mais comment on fait ?
Après quelques heures, on a construit le bateau, on a traversé la rivière et on est toutes rentrées, chez nous. C’était le meilleur goûter de ma vie ! Grâce à cet arbre Grâce à cet arbre les oiseaux peuvent se poserSe reposer et observer en toute tranquillité.Je m’assoupis petit à petit avant de dormir et de voir les feuilles rougir.
Texte ZL
Quelle aventure ! tu es prête à aller explorer les bois toi aussi !
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Les Rois et Reines de la Poésie des Saisons
Béatrice,16 ans, vit dans un petit village, se promène dans la forêt. Elle regarde un écureuil, cueille une noix, ramasse une feuille rouge… Elle adore se promener à l’abri des arbres. Il ne fait ni trop chaud ni trop froid. Il fait frais, doux, même peut être un peu humide.
Il y a quelques jours son village et elles avaient fêté l’équinoxe d’automne. Ils aimaient bien fêter la nature (solstice d’été…). Soudain, un lézard à plumes multicolores avec un énorme bec et une queue de lion mesurant quelques centimètres s’écrase devant elle. Surprise, Béatrice saute d’un bond en arrière. Le lézard se relève tant bien que mal et Béatrice, curieuse, en profite pour l’observer. Il est de la couleur des arbres en automne et se frotte la tête. Soudain il la remarque, recule, puis voyant sa réaction s’approche. Le lézard et Béatrice se contemplent un moment puis le lézard dit : « - Qui es-tu toi ? »
Béatrice ne répond pas, bien trop étonnée pour parler.
« - Oéééé. Allô la terre ! » fit-il en agitant les bras.
Béatrice se dit : « - Je deviens folle. Calme-toi Béatrice. »
« - Nan tu ne deviens pas folle. Et donc tu t’appelles Béatrice ? »
Là Béatrice réagit : « -Tu lis dans les pensées ? Mais c’est mal ça. Et puis tu es qui ? » « - Doucement. Je ne savais pas que tu n’aimais pas. Moi c’est Aroche le roi de la poésie d’automne et voici Tocke (il montra du doigt un buisson feuillu) le roi de la poésie d’hiver et là c’est Rochasse (il montra du doigt un arbre) la reine de la poésie du printemps »
Béatrice est abasourdie, quand deux lézard semblables à Aroche mais de l’hiver et du printemps sortent.
« -Nous cherchons Larianne, la reine de la poésie d’été. », dit Tocke.
« - Mais nous ne la trouvons pas.», dit Rochasse.
« - Aide nous à la chercher ! », propose Aroche.
Béatrice accepte et ils cherchent et trouvent Larianne. En remerciement, Aroche lui fait une poésie : «Grâce à cet arbre, ce châtaigner Nous nous sommes rencontrés, Nous étions bien cachés Mais tu nous as trouvés. En automne, avec les noix On s’amuse bien parfois Des noisettes et des feuilles Tout est rouge grâce à l’automne.» En partant, ils promettent de se revoir.
Texte ZM
Ton écriture est très parlante, j’aime la vie que tu mets dans tes mots !
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La vie dans la forêt
Dans les bois, un matin comme tous les autres, un homme dormait dans un chêne. Il se réveille petit à petit. La nuit dernière, il avait beaucoup plu, cela sentait donc très fort le pétrichor. L’homme descendit brutalement du chêne, et entendit des coups de feu. Il détala alors à toute vitesse. Soudain, un mur de buissons se dressa autour de lui. L’homme entendit une voix qui provenait de l’arbuste à ses pieds et qui lui dit : « Vous voulez continuer votre parcours, alors répondez à cette petite devinette »:
« Grâce à cet arbre, je vis. Grâce à cet arbre, je rougis. Grâce à cet arbre, je tourbille. L’arbre me perd en automne, Je peux aussi mourir en automne Je m’accroche aux branches Et en accrobranche, les enfants se prennent la tête dedans On peut écrire sur moi Mais je fais surtout de l’ombre, Qui suis-je ? » Alors à ce moment-là, l’homme resta bouche-bée et chercha durant une dizaine de minutes et finit par trouver le mot FEUILLE ! Il continua son parcours comme un éclair. Il ne regardait que devant soi, pas là où il marchait, ce qui a un moment donné fut problématique. Quelques mètres plus loin après s’être arrêté, il tomba dans une flaque d’eau, qui était plutôt de la boue par ailleurs.
Il tourna en rond, pendant des centaines de mètres jusqu’à en être épuisé. Il s’arrêta, fit un feu et sécha ses habits comme il pouvait et dormit au chaud. Le lendemain matin, le feu s’était éteint et il ne restait plus que quelques braises chaudes de la veille. Il repartit après avoir mangé le dernier paquet de chips qui était au fond de son sac à dos. Comme la veille, il continua à courir et s’arrêta lorsqu’il vit un panneau avec marqué : «Vigilance, chasse en cours»
Quelques mètres plus tard, il croisa trois chasseurs et leur demanda comment on récupère la route principale. Les chasseurs lui répondirent que c’était dans cette direction-là. Il courut en vain, et ne la trouva jamais. Il se résigna alors à se dire qu’il ne retrouverait jamais sa vie d’avant. Chaque dimanche, les chasseurs, lui apportaient à manger et une boîte d’allumettes pour pouvoir se réchauffer. A la fin de sa vie, il connaissait les moindres recoins de la forêt et mourut très vieux et très heureux.
Texte ZN
La forêt est pleine de secrets et parfois, on cherche le bonheur au mauvais endroit, tu l’as bien compris !
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Classes de 6e – Cours de Français : Monsieur L. DYREK
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